Korhogo – Le préfet de la région du Poro, M Daouda Ouattara, a fait savoir jeudi, lors de la célébration du 54ème anniversaire de l’indépendance de Côte d’Ivoire, que la réconciliation est indispensable au retour définitif de la paix qui est la condition pour qu’elle soit un pays émergence à l’horizon 2020.
Intervenant lors de la célébration de la fête nationale de Côte d’Ivoire, le préfet de Korhogo a indiqué que bien que les indicateurs de croissance économique enregistré en Côte d’Ivoire sont au beau fixe, pour consolider ses acquis, la Côte d’Ivoire doit relever le défi de la réconciliation nationale par le dialogue, la vérité, la justice et le pardon qui sont des conditions pour atteindre l’objectif de pays émergeant.
Il a ajoute que c’est dans cette optique les autorités ivoiriennes ont pris des initiatives en faveur des personnalités proches de l’ex-président de la république Laurent Gbagbo afin de "rétablir un climat de confiance et de sérénité entre les ivoiriens".
Cependant, il souligne que la réconciliation ne peut se faire dans l’impunité des crimes commis. C’est donc à ce titre dira-t-il que la justice joue son rôle dans le processus de réconciliation en situant les responsabilités des auteurs des crimes, de violations de droits humains et du droit international.
Le préfet a aussi noté que le président de la République poursuit son œuvre de réconciliation par des avancées dans le processus de réconciliation notamment le dégel de 289 comptes, la libération provisoire de 275 prisonniers et la somme de 20 millions pour accélérer les procédures judiciaires.
Cette fête a débutée par la revue des troupes par le préfet de région et par le salut aux couleurs suivi d’un défilé militaire et paramilitaire des forces armées nationales que sont la gendarmerie nationale, la police nationale, les FRCI, la douane, les eaux-et forêts, les sapeurs pompiers.
Un défilé civil des opérateurs économiques, dozos, des associations de jeunes et de femmes et bien d’autres structures ont émaillés cette fête.
apk /kam
Intervenant lors de la célébration de la fête nationale de Côte d’Ivoire, le préfet de Korhogo a indiqué que bien que les indicateurs de croissance économique enregistré en Côte d’Ivoire sont au beau fixe, pour consolider ses acquis, la Côte d’Ivoire doit relever le défi de la réconciliation nationale par le dialogue, la vérité, la justice et le pardon qui sont des conditions pour atteindre l’objectif de pays émergeant.
Il a ajoute que c’est dans cette optique les autorités ivoiriennes ont pris des initiatives en faveur des personnalités proches de l’ex-président de la république Laurent Gbagbo afin de "rétablir un climat de confiance et de sérénité entre les ivoiriens".
Cependant, il souligne que la réconciliation ne peut se faire dans l’impunité des crimes commis. C’est donc à ce titre dira-t-il que la justice joue son rôle dans le processus de réconciliation en situant les responsabilités des auteurs des crimes, de violations de droits humains et du droit international.
Le préfet a aussi noté que le président de la République poursuit son œuvre de réconciliation par des avancées dans le processus de réconciliation notamment le dégel de 289 comptes, la libération provisoire de 275 prisonniers et la somme de 20 millions pour accélérer les procédures judiciaires.
Cette fête a débutée par la revue des troupes par le préfet de région et par le salut aux couleurs suivi d’un défilé militaire et paramilitaire des forces armées nationales que sont la gendarmerie nationale, la police nationale, les FRCI, la douane, les eaux-et forêts, les sapeurs pompiers.
Un défilé civil des opérateurs économiques, dozos, des associations de jeunes et de femmes et bien d’autres structures ont émaillés cette fête.
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