Pretoria (Afrique du Sud) - Les dirigeants africains et le président des États-Unis ont convenu de travailler ensemble pour construire des liens commerciaux plus étroits entre les deux continents, a indiqué le président sud-africain Jacob Zuma.
S'exprimant mercredi à Washington à l'occasion de la clôture du sommet historique États-Unis-Afrique qui a duré trois jours, Zuma a déclaré que la plupart des résolutions du sommet auquel 50 dirigeants africains ont pris part, sont axées sur le renforcement des liens commerciaux entre les États-Unis et l'Afrique, la continuation de l'AGOA, la bonne gouvernance ainsi que la paix et la sécurité.
Saluant le sommet qui a enregistré un succès majeur, le président sud-africain s'est félicité des progrès réalisés. Il s'agit notamment des plus 33 milliards de dollars destinés aux investissements en Afrique que le président américain Barack Obama a annoncé mardi lors du deuxième jour de ce sommet.
Ce sommet, le premier du genre à être organisée par un président américain, a été considéré par beaucoup comme une tentative d'Obama, qui a des origines africaines, de rééquilibrer les relations entre l'Amérique et l'Afrique.
Certains disent que c'est aussi une question de contribution pour Obama, dont le père était originaire de Kenya.
Cependant, Zuma a confié que quelle que soit la motivation, cette rencontre a réussi à rassembler presque tous les dirigeants africains sous un même toit pour discuter des intérêts communs avec les États-Unis, un marché crucial pour les produits africains dans le cadre de la loi sur la croissance et les opportunités économiques en Afrique (AGOA), les franchises offertes aux produits du continent qui entrent dans le marché américain.
Une réunion au Département d'État américain a fait fi de tous les doutes qui auraient pu se présenter relatifs au soutien de l'administration Obama au renouvellement de l'AGOA alors que cette loi expire en 2015.
« Compte tenu de la manière dont ce sommet a contribué à promouvoir nos relations, il sera très difficile pour tout président américain à venir, d'ignorer que ce sommet a eu lieu et ce qu'il a accompli », a déclaré Zuma.
NM/jn/nbd/od/APA
S'exprimant mercredi à Washington à l'occasion de la clôture du sommet historique États-Unis-Afrique qui a duré trois jours, Zuma a déclaré que la plupart des résolutions du sommet auquel 50 dirigeants africains ont pris part, sont axées sur le renforcement des liens commerciaux entre les États-Unis et l'Afrique, la continuation de l'AGOA, la bonne gouvernance ainsi que la paix et la sécurité.
Saluant le sommet qui a enregistré un succès majeur, le président sud-africain s'est félicité des progrès réalisés. Il s'agit notamment des plus 33 milliards de dollars destinés aux investissements en Afrique que le président américain Barack Obama a annoncé mardi lors du deuxième jour de ce sommet.
Ce sommet, le premier du genre à être organisée par un président américain, a été considéré par beaucoup comme une tentative d'Obama, qui a des origines africaines, de rééquilibrer les relations entre l'Amérique et l'Afrique.
Certains disent que c'est aussi une question de contribution pour Obama, dont le père était originaire de Kenya.
Cependant, Zuma a confié que quelle que soit la motivation, cette rencontre a réussi à rassembler presque tous les dirigeants africains sous un même toit pour discuter des intérêts communs avec les États-Unis, un marché crucial pour les produits africains dans le cadre de la loi sur la croissance et les opportunités économiques en Afrique (AGOA), les franchises offertes aux produits du continent qui entrent dans le marché américain.
Une réunion au Département d'État américain a fait fi de tous les doutes qui auraient pu se présenter relatifs au soutien de l'administration Obama au renouvellement de l'AGOA alors que cette loi expire en 2015.
« Compte tenu de la manière dont ce sommet a contribué à promouvoir nos relations, il sera très difficile pour tout président américain à venir, d'ignorer que ce sommet a eu lieu et ce qu'il a accompli », a déclaré Zuma.
NM/jn/nbd/od/APA