Nairobi (Kenya) - Kenya Airways, la compagnie aérienne nationale du Kenya, a déclaré vendredi qu’elle allait poursuivre sa desserte du Libéria et des autres pays ouest africains, en dépit de l’épidémie du virus Ebola qui sévit dans la région.
Le directeur général de Kenya Airways, Titus Naikuni, a indiqué que la retrait de ses avions de la région reviendrait à donner des consignes de voyage qui s'avèrent superflue d'autant plus que les gouvernements ont déjà pris des mesures de protection nécessaires.
"Selon des informations qui nous sont parvenues de l'Association internationale du transport aérien (IATA) et qui ont été confirmées par des experts locaux et par l'OMS, le risque actuel d'une propagation du virus Ebola par le transport aérien est minime et ne nécessite donc aucune restriction de voyage ou la fermeture de frontières aux points d'entrée", a indiqué M. Naikuni dans un communiqué.
Il a affirmé que le personnel de sol et les équipages à Monrovia, Freetown et Accra, ainsi qu'à Lagos et Abuja, étaient également en alerte pour identifier les passagers qui se sentiraient mal durant les contrôles pour l'embarquement ou même à bord de l'avion, et d'aider à leur faire subir immédiatement un examen médical.
L'épidémie de fièvre Ebola a déjà fait plus de 900 morts en Guinée, au Libéria et en Sierra Léone depuis février dernier, selon l'OMS.
JK/abj/fss/od/APA
Le directeur général de Kenya Airways, Titus Naikuni, a indiqué que la retrait de ses avions de la région reviendrait à donner des consignes de voyage qui s'avèrent superflue d'autant plus que les gouvernements ont déjà pris des mesures de protection nécessaires.
"Selon des informations qui nous sont parvenues de l'Association internationale du transport aérien (IATA) et qui ont été confirmées par des experts locaux et par l'OMS, le risque actuel d'une propagation du virus Ebola par le transport aérien est minime et ne nécessite donc aucune restriction de voyage ou la fermeture de frontières aux points d'entrée", a indiqué M. Naikuni dans un communiqué.
Il a affirmé que le personnel de sol et les équipages à Monrovia, Freetown et Accra, ainsi qu'à Lagos et Abuja, étaient également en alerte pour identifier les passagers qui se sentiraient mal durant les contrôles pour l'embarquement ou même à bord de l'avion, et d'aider à leur faire subir immédiatement un examen médical.
L'épidémie de fièvre Ebola a déjà fait plus de 900 morts en Guinée, au Libéria et en Sierra Léone depuis février dernier, selon l'OMS.
JK/abj/fss/od/APA