Divo – Une organisation de la société civile ivoirienne, "sociale vie chrétienne internationale" s'est engagée dans la construction d’écoles primaires dans une dizaine de localités de la région du lôh djiboua (Centre-ouest), selon son président, Yapi Olivier, qui a déjà procédé à la pose de la première pierre à Abdoulaye djan et Kouassi ngorankro.
Chaque localité bénéficiaire sera dotée d’une école moderne de six classes, un bureau, des latrines et une cantine scolaire pour un investissement global de 250 millions de francs CFA, soit 25 millions par école.
La plupart des localités disposent d’école de fortune, construite en matériaux précaires. Certaines n’en disposent pas du tout, obligeant les élèves à parcourir plusieurs kilomètres pour accéder aux écoles voisines. Ces conditions difficiles contribuent aux échecs scolaires et surtout à l’abandon de la formation de base pour de nombreux écoliers.
L’objectif de l'ONG est aussi de contribuer à occuper sainement les jeunes enfants en les mettant à l’abri de toutes velléités d’utilisation dans les plantations de cacao.
"Nous voulons éliminer totalement le travail des enfants notamment les pires formes car la pauvreté et ses dérivés sont à la base de ce fléau", a expliqué le président de l’Ong, docteur Yapi Olivier.
"L’originalité de ce projet est que les 25 millions sont mis directement à la disposition des villageois. Ils doivent livrer l’école avant janvier 2015. Ils doivent donc relever le défi dans l’intérêt de tous", a-t-il ajouté.
Les cérémonies de pose de première pierre se dérourelent durant le mois d’aoùt. Cette étape sera suivie dès septembre par la supervision de l’état d’avancement des travaux de construction des écoles, a-t-on appris.
(AIP)
gso/ask
Chaque localité bénéficiaire sera dotée d’une école moderne de six classes, un bureau, des latrines et une cantine scolaire pour un investissement global de 250 millions de francs CFA, soit 25 millions par école.
La plupart des localités disposent d’école de fortune, construite en matériaux précaires. Certaines n’en disposent pas du tout, obligeant les élèves à parcourir plusieurs kilomètres pour accéder aux écoles voisines. Ces conditions difficiles contribuent aux échecs scolaires et surtout à l’abandon de la formation de base pour de nombreux écoliers.
L’objectif de l'ONG est aussi de contribuer à occuper sainement les jeunes enfants en les mettant à l’abri de toutes velléités d’utilisation dans les plantations de cacao.
"Nous voulons éliminer totalement le travail des enfants notamment les pires formes car la pauvreté et ses dérivés sont à la base de ce fléau", a expliqué le président de l’Ong, docteur Yapi Olivier.
"L’originalité de ce projet est que les 25 millions sont mis directement à la disposition des villageois. Ils doivent livrer l’école avant janvier 2015. Ils doivent donc relever le défi dans l’intérêt de tous", a-t-il ajouté.
Les cérémonies de pose de première pierre se dérourelent durant le mois d’aoùt. Cette étape sera suivie dès septembre par la supervision de l’état d’avancement des travaux de construction des écoles, a-t-on appris.
(AIP)
gso/ask