Bangolo - Le calme est revenu dans la ville de Bangolo (Ouest, région du Guémon), mardi dans l’après-midi, après des affrontements ayant opposé deux factions de syndicats de transporteurs suite à une mésentente sur la gestion de la gare routière.
Très tôt dans la matinée de mardi, des jeunes autochtones ont assiégé la gare routière pour exiger l’intégration d’un nouveau syndicat qu’ils venaient de créer. Un état de siège que les membres des cinq syndicats déjà existant, constitués en majorité de jeunes malinké, n’ont pas digéré.
La situation de tension a dégénéré en affrontements entre leurs deux camps, faisant 26 blessés dont 13 de part et d’autre.
Le préfet Gbané Mahama, pour trouver un terrain d’entente, a initié une rencontre avec les deux groupes en belligérance.
"Nous nous sommes compris et les deux camps se sont entendus pour travailler ensemble. Ce n’était qu’une incompréhension. Mais après la réunion que nous avons eu à mon bureau, il n’y a plus de problèmes", a expliqué le préfet.
Gbané Mahama a rendu visite aux blessés à l’hôpital général de Bangolo et a promis la prise en charge, par le gouvernement, de toutes les victimes. De source médicale, la vie des blessés n’est plus en danger.
(AIP)
jn/fmo/kkp/kam
Très tôt dans la matinée de mardi, des jeunes autochtones ont assiégé la gare routière pour exiger l’intégration d’un nouveau syndicat qu’ils venaient de créer. Un état de siège que les membres des cinq syndicats déjà existant, constitués en majorité de jeunes malinké, n’ont pas digéré.
La situation de tension a dégénéré en affrontements entre leurs deux camps, faisant 26 blessés dont 13 de part et d’autre.
Le préfet Gbané Mahama, pour trouver un terrain d’entente, a initié une rencontre avec les deux groupes en belligérance.
"Nous nous sommes compris et les deux camps se sont entendus pour travailler ensemble. Ce n’était qu’une incompréhension. Mais après la réunion que nous avons eu à mon bureau, il n’y a plus de problèmes", a expliqué le préfet.
Gbané Mahama a rendu visite aux blessés à l’hôpital général de Bangolo et a promis la prise en charge, par le gouvernement, de toutes les victimes. De source médicale, la vie des blessés n’est plus en danger.
(AIP)
jn/fmo/kkp/kam