Ferkessédougou – Le directeur régional de l'Agriculture de Ferkessédougou, Dembélé Vamara, a exhorté les producteurs de noix de cajou à s'orienter vers les structures d'encadrement pour bénéficier de conseils techniques et de variétés sélectionnées susceptibles d'optimiser leurs productions.
Lors d'une rencontre de mobilisation pour la première édition du Salon international des équipements et des technologies de transformation de l'anacarde (SIETTA 2014) à la préfecture de Ferkessédougou, M. Dembélé Vamara a relevé le vieillissement de "la quasi-totalité des vergers qui existent dans la région".
"Leur production oscille entre 300 et 400 kg à l'hectare, ce qui est peu face aux productions des variétés sélectionnées", a-t-il affirmé, ajoutant que des variétés sélectionnées sont disponibles à l'Agence nationale d'appui au développement rural (ANADER) et la direction de l'Agriculture, en plus de leurs "conseils pouvant, a-t-il dit, aider le producteur à faire une tonne d'anacarde à l'hectare".
M. Dembélé a déploré les méthodes traditionnelles de création de vergers et le manque d'engouement des producteurs à s'orienter vers les structures d'encadrement.
"Sans producteur, il n'y a pas de direction de l'Agriculture. Il faut toujours venir à l'information. L'anacarde est une culture pérenne. Il faut donc opter pour les variétés sélectionnées dont disposent les structures d'encadrement pour mieux rentabiliser ces vergers. Aujourd'hui, les acteurs qui se sont orientés vers les structures d'encadrement se frottent les mains de bonheur", a-t-il souligné, appelant les autres à leur emboîter le pas.
A l'origine, l'anacardier avait été introduit pour des raisons écologiques (reforestation et la lutte contre l’avancée du désert), du fait de sa place de plus en plus importante dans l'économie
ivoirienne, les structures de recherche ont mis à la disposition des producteurs certaines variétés sélectionnées comme les "jumeaux".
La première édition du Salon international des équipements et des technologies de transformation de l’anacarde est prévue du 26 au 28 novembre prochain au palais des sports de Treichville (Abidjan).
Son objectif est de promouvoir la transformation et la consommation locales des produits dérivés de l’anacarde, d’encourager les équipementiers à s’installer en Côte d’Ivoire et de valoriser les équipements et les technologies de transformation auprès des potentiels investisseurs nationaux.
(AIP)
ti/aaa/kp
Lors d'une rencontre de mobilisation pour la première édition du Salon international des équipements et des technologies de transformation de l'anacarde (SIETTA 2014) à la préfecture de Ferkessédougou, M. Dembélé Vamara a relevé le vieillissement de "la quasi-totalité des vergers qui existent dans la région".
"Leur production oscille entre 300 et 400 kg à l'hectare, ce qui est peu face aux productions des variétés sélectionnées", a-t-il affirmé, ajoutant que des variétés sélectionnées sont disponibles à l'Agence nationale d'appui au développement rural (ANADER) et la direction de l'Agriculture, en plus de leurs "conseils pouvant, a-t-il dit, aider le producteur à faire une tonne d'anacarde à l'hectare".
M. Dembélé a déploré les méthodes traditionnelles de création de vergers et le manque d'engouement des producteurs à s'orienter vers les structures d'encadrement.
"Sans producteur, il n'y a pas de direction de l'Agriculture. Il faut toujours venir à l'information. L'anacarde est une culture pérenne. Il faut donc opter pour les variétés sélectionnées dont disposent les structures d'encadrement pour mieux rentabiliser ces vergers. Aujourd'hui, les acteurs qui se sont orientés vers les structures d'encadrement se frottent les mains de bonheur", a-t-il souligné, appelant les autres à leur emboîter le pas.
A l'origine, l'anacardier avait été introduit pour des raisons écologiques (reforestation et la lutte contre l’avancée du désert), du fait de sa place de plus en plus importante dans l'économie
ivoirienne, les structures de recherche ont mis à la disposition des producteurs certaines variétés sélectionnées comme les "jumeaux".
La première édition du Salon international des équipements et des technologies de transformation de l’anacarde est prévue du 26 au 28 novembre prochain au palais des sports de Treichville (Abidjan).
Son objectif est de promouvoir la transformation et la consommation locales des produits dérivés de l’anacarde, d’encourager les équipementiers à s’installer en Côte d’Ivoire et de valoriser les équipements et les technologies de transformation auprès des potentiels investisseurs nationaux.
(AIP)
ti/aaa/kp