Yamoussoukro, Le syndicat national des agents contractuels de Côte d'Ivoire (SYNACSCI) vient de voir le jour avec pour objectif, la revalorisation salariale et de meilleures conditions de travail pour la corporation.
Il a été porté sur les fonts baptismaux dans la nuit du vendredi au samedi, au cours d'une assemblée générale (AG) constitutive et élective au centre diocésain de Yamoussoukro (centre, région du Bélier) autour du thème ''Face aux exigences de l'émergence, quel avenir pour les agents contractuel de la santé de Côte d'Ivoire".
Le tout nouveau secrétaire général du SYNACSCI, Ernest Mamadou Méto, a indiqué, au cours de sa première déclaration, que sa priorité sera de lutter pour l'application du salaire minimum garanti (SMIG) passé à 60.000 FCFA.
''Nos revendiquons aussi les arriérés de salaire de nos collègues dans certaines localités où ils ont travaillé pendant 11 mois sans être payés pour des salaires dérisoires de 15.000 FCFA à 25.000 FCFA'', a fait savoir le SG du SYNACSCI qui souhaite voir également ses camarades travailleurs déclarés à la Caisse nationale de prévoyance sociale (CNPS).
''C'est une injustice à réparer'', a-t-il dit non sans réclamer la prise en charge médicale des agents contractuels de la santé, tout comme les médecins et infirmiers avec lesquels ''nous travaillons et courons les mêmes risques''.
"Pour un pays qui se veut émergent, il faut que cela soit corrigé'', a insisté Ernest Mamadou, le nouveau secrétaire général du SYNACSCI.
L'assemblée générale constitutive et élective du SYNACSCI était placée sous le parrainage de M. Hubert Kpansaï, le secrétaire général des agents déflatés de la santé (SYNADES) qui a conseillé ses filleuls d'observer ''une diligente d'écoute, '' d'être patients et agir dans le respect des textes pour faire aboutir leurs revendications.
Le SYNACSCI revendique plus de 950 agents contractuels (les caissières, les filles et garçons de salle, les ambulanciers et secrétaires de direction) sur l'ensemble du territoire national.
(AIP)
nam/kp
Il a été porté sur les fonts baptismaux dans la nuit du vendredi au samedi, au cours d'une assemblée générale (AG) constitutive et élective au centre diocésain de Yamoussoukro (centre, région du Bélier) autour du thème ''Face aux exigences de l'émergence, quel avenir pour les agents contractuel de la santé de Côte d'Ivoire".
Le tout nouveau secrétaire général du SYNACSCI, Ernest Mamadou Méto, a indiqué, au cours de sa première déclaration, que sa priorité sera de lutter pour l'application du salaire minimum garanti (SMIG) passé à 60.000 FCFA.
''Nos revendiquons aussi les arriérés de salaire de nos collègues dans certaines localités où ils ont travaillé pendant 11 mois sans être payés pour des salaires dérisoires de 15.000 FCFA à 25.000 FCFA'', a fait savoir le SG du SYNACSCI qui souhaite voir également ses camarades travailleurs déclarés à la Caisse nationale de prévoyance sociale (CNPS).
''C'est une injustice à réparer'', a-t-il dit non sans réclamer la prise en charge médicale des agents contractuels de la santé, tout comme les médecins et infirmiers avec lesquels ''nous travaillons et courons les mêmes risques''.
"Pour un pays qui se veut émergent, il faut que cela soit corrigé'', a insisté Ernest Mamadou, le nouveau secrétaire général du SYNACSCI.
L'assemblée générale constitutive et élective du SYNACSCI était placée sous le parrainage de M. Hubert Kpansaï, le secrétaire général des agents déflatés de la santé (SYNADES) qui a conseillé ses filleuls d'observer ''une diligente d'écoute, '' d'être patients et agir dans le respect des textes pour faire aboutir leurs revendications.
Le SYNACSCI revendique plus de 950 agents contractuels (les caissières, les filles et garçons de salle, les ambulanciers et secrétaires de direction) sur l'ensemble du territoire national.
(AIP)
nam/kp