L’attaque d’un centre d’isolement de malades atteints du virus Ebola dans la nuit de samedi à dimanche à Monrovia, la capitale libérienne, a provoqué l’évasion de dix-sept malades.
29 malades d’Ebola avaient été admis dans ce centre qui a été cassé et pillé par des hommes armés non identifiés. Ils suivaient dans ce centre logé au lycée de la banlieue libérienne, des traitements préliminaires avant leur évacuation dans un hôpital.
Le lycée attaqué avait été récemment choisi par les autorités sanitaires pour isoler les personnes présentant des symptômes de la fièvre hémorragique Ebola. Le quartier qui abrite le centre est considéré comme un des épicentres de l’épidémie dans la capitale.
L’épidémie d’Ebola déclenchée en mars dernier en Afrique de l’Ouest, est la plus grave depuis l’apparition de cette fièvre hémorragique très contagieuse en 1976, lors de deux flambées simultanées à Nzara (Soudan) et à Yambuku (République démocratique du Congo).
Elle a fait déjà fait 1.145 morts dont 413 au Liberia, 380 en Guinée, 348 en Sierra Leone et quatre au Nigeria, selon le dernier bilan de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
29 malades d’Ebola avaient été admis dans ce centre qui a été cassé et pillé par des hommes armés non identifiés. Ils suivaient dans ce centre logé au lycée de la banlieue libérienne, des traitements préliminaires avant leur évacuation dans un hôpital.
Le lycée attaqué avait été récemment choisi par les autorités sanitaires pour isoler les personnes présentant des symptômes de la fièvre hémorragique Ebola. Le quartier qui abrite le centre est considéré comme un des épicentres de l’épidémie dans la capitale.
L’épidémie d’Ebola déclenchée en mars dernier en Afrique de l’Ouest, est la plus grave depuis l’apparition de cette fièvre hémorragique très contagieuse en 1976, lors de deux flambées simultanées à Nzara (Soudan) et à Yambuku (République démocratique du Congo).
Elle a fait déjà fait 1.145 morts dont 413 au Liberia, 380 en Guinée, 348 en Sierra Leone et quatre au Nigeria, selon le dernier bilan de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).