Abidjan, Un spécialiste belge des maladies infectieuses, Steven Callens, a affirmé qu’il n'y aurait pas de raison de "paniquer" en Belgique si l'un des patients mis en quarantaine la semaine dernière avait été testé positif, expliquant que "les risques d'importation du virus sont faibles".
"On ne doit absolument pas s'inquiéter d'une épidémie d'Ebola ici. Tout le monde est au courant des procédures à suivre, et l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) vient de renvoyer un message dans lequel elle précise que les chances d'importer Ebola par voies aériennes sont très, très restreintes.", a commenté Steven Callens.
En outre, les hôpitaux belges assurent qu'ils ne sont pas démunis face à une telle situation, Ils se sont d'ailleurs coordonnés sur une manière bien spécifique de réagir.
"Les hôpitaux se sont entendus sur la façon de fonctionner, Quand on vient, la première chose à savoir est si on vient de l'un des quatre pays incriminés - ne pas confondre les différentes Guinée d'ailleurs. Ensuite, le patient est isolé et vu par un cadre supérieur du service pour voir s'il a de la fièvre, s'il a eu des contacts.", a expliqué un virologue et chef du département de microbiologie à Saint-Luc, Patrick Goubau,
Il a indiqué avoir reçu un document du Conseil supérieur de la Santé élaboré par plusieurs experts en la matière servant de base aux discussions dans les différents hôpitaux pour l’établissement d'un plan d'urgence.
(AIP)
ik/ask
"On ne doit absolument pas s'inquiéter d'une épidémie d'Ebola ici. Tout le monde est au courant des procédures à suivre, et l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) vient de renvoyer un message dans lequel elle précise que les chances d'importer Ebola par voies aériennes sont très, très restreintes.", a commenté Steven Callens.
En outre, les hôpitaux belges assurent qu'ils ne sont pas démunis face à une telle situation, Ils se sont d'ailleurs coordonnés sur une manière bien spécifique de réagir.
"Les hôpitaux se sont entendus sur la façon de fonctionner, Quand on vient, la première chose à savoir est si on vient de l'un des quatre pays incriminés - ne pas confondre les différentes Guinée d'ailleurs. Ensuite, le patient est isolé et vu par un cadre supérieur du service pour voir s'il a de la fièvre, s'il a eu des contacts.", a expliqué un virologue et chef du département de microbiologie à Saint-Luc, Patrick Goubau,
Il a indiqué avoir reçu un document du Conseil supérieur de la Santé élaboré par plusieurs experts en la matière servant de base aux discussions dans les différents hôpitaux pour l’établissement d'un plan d'urgence.
(AIP)
ik/ask