Un comité chargé de l’orientation des 70.000 nouveaux bacheliers présidé par le directeur général de l’Enseignement supérieur, Pr Crézoit Emmanuel, annonce l’orientation de 45.354 d’entre eux dans les universités et grandes écoles publiques, près du double de leur capacité d’accueil.
La capacité d’accueil en nombre de places assises de l’ensemble des institutions académiques publiques s’évalue à 28.000, a expliqué Pr Koné Tiémoman, rapporteur de ce comité comprenant les directeurs généraux et centraux, ainsi que les présidents d’universités et grandes écoles publiques lors de la remise des conclusions de leurs travaux au ministre Gnamien Konan.
Le dépassement de ce chiffre pour atteindre 45.354 se fera grâce aux technologies de l’information et de la communication (TIC), par le développement et l’application de la pédagogie numérique dès la rentrée universitaire 2014-2015.
Dans un communiqué du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique dont l’AIP a obtenu copie mercredi, le rapporteur explique que le mode opératoire va consister à orienter les meilleurs étudiants dans les filières porteuses, pourvoyeuses d’emplois. L’objectif étant de parvenir, à moyen terme, à accueillir 50% de bacheliers dans les facultés scientifiques et technologiques, selon le souhait d’une formation facilitant l’employabilité des apprenants.
"Si nous voulons réaliser des économies et les injecter dans des programmes d’amélioration de la qualité et de la performance de notre système d’enseignement supérieur, il nous faut orienter de moins en moins d’étudiants dans les structures d’enseignement privées", avertit-il.
En ce qui concerne le fonctionnement des cours en ligne et le télé-enseignement, il indique que tous les cours auront une version numérique. L’étudiant disposant d’un ordinateur et d’une connexion internet pourra accéder aux enseignements à l’avance. Il pourra échanger avec l’enseignant et/ou avec ses condisciples (étudiants) avant le cours. Ce qui a pour avantage de démultiplier les capacités d’accueil, palliant le déficit d’enseignants et d’infrastructures et de proposer un enseignement de qualité.
Le ministre Gnamien Konan a assuré les membres du comité du soutien du chef de l’Etat et du gouvernement dans la mise en œuvre de ces réformes, avant de les exhorter à poursuivre les réflexions et à tenir les délais.
aaa/kam
La capacité d’accueil en nombre de places assises de l’ensemble des institutions académiques publiques s’évalue à 28.000, a expliqué Pr Koné Tiémoman, rapporteur de ce comité comprenant les directeurs généraux et centraux, ainsi que les présidents d’universités et grandes écoles publiques lors de la remise des conclusions de leurs travaux au ministre Gnamien Konan.
Le dépassement de ce chiffre pour atteindre 45.354 se fera grâce aux technologies de l’information et de la communication (TIC), par le développement et l’application de la pédagogie numérique dès la rentrée universitaire 2014-2015.
Dans un communiqué du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique dont l’AIP a obtenu copie mercredi, le rapporteur explique que le mode opératoire va consister à orienter les meilleurs étudiants dans les filières porteuses, pourvoyeuses d’emplois. L’objectif étant de parvenir, à moyen terme, à accueillir 50% de bacheliers dans les facultés scientifiques et technologiques, selon le souhait d’une formation facilitant l’employabilité des apprenants.
"Si nous voulons réaliser des économies et les injecter dans des programmes d’amélioration de la qualité et de la performance de notre système d’enseignement supérieur, il nous faut orienter de moins en moins d’étudiants dans les structures d’enseignement privées", avertit-il.
En ce qui concerne le fonctionnement des cours en ligne et le télé-enseignement, il indique que tous les cours auront une version numérique. L’étudiant disposant d’un ordinateur et d’une connexion internet pourra accéder aux enseignements à l’avance. Il pourra échanger avec l’enseignant et/ou avec ses condisciples (étudiants) avant le cours. Ce qui a pour avantage de démultiplier les capacités d’accueil, palliant le déficit d’enseignants et d’infrastructures et de proposer un enseignement de qualité.
Le ministre Gnamien Konan a assuré les membres du comité du soutien du chef de l’Etat et du gouvernement dans la mise en œuvre de ces réformes, avant de les exhorter à poursuivre les réflexions et à tenir les délais.
aaa/kam