Après trois campagnes de mise en œuvre du système d’identification des producteurs et de la traçabilité du coton (SITRACOT), les acteurs de la filière se sont réunis, jeudi et vendredi, à Bouaké, pour faire le bilan de son exploitation au cours de la campagne 2013/2014 et proposer des solutions pour l’amélioration de ses performances.
Issus des sociétés cotonnières et des unions de sociétés coopératives du bassin cotonnier, du Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole (FIRCA) et du conseil du coton et de l’anacarde, la quarantaine de participants à ce troisième atelier du genre, devront notamment, valider le cahier de charge de l’amélioration du SITRACOT, actualiser le mode opératoire des comités de litige, le code de bonne conduite et la convention avec les structure éligibles.
Le secrétaire exécutif de l’Intercoton, M. Silué Siontiama Jean-Baptiste, représentant le PCA, a félicité les acteurs pour "le bon travail’’ qu’ils ont abattu durant les trois dernières campagnes, avant d’indiquer que leurs efforts ont permis de réduire considérablement les cas de vols de coton à presque "zéro cas" ainsi que les cas d’impayés.
"Vous avez permis à la filière cotonnière de Côte d’Ivoire d’être un exemple dans toute la sous-région3, a-t-il affirmé, exhortant les acteurs à poursuivre avec détermination le travail.
Le directeur de la Compagnie ivoirienne de coton (CIDT), M. coulibaly Mamadou, a fait savoir, pour sa part, que l’investissement dans la mise en œuvre du SITRACOT est important parce qu’il permet "d’éviter les déperditions et d’améliorer fortement la traçabilité" du coton.
Dans le cadre des actions de relance de la filière coton, l’Intercoton a mis en place depuis la campagne 2011/2012, un Système d’identification des producteurs et de la traçabilité du coton (SITRACOT), dans le but d’améliorer la collecte et le traitement des données statistiques dans la filière.
Le système est couplé à une base informatisée qui est installée dans toutes les structures éligibles au conseil agricole et dans toutes les usines de coton. Ceci devrait empêcher notamment, les vols de coton et les détournements de la production d’un paysan ou groupe de paysans au profit d’un opérateur qui ne l’a pas encadré ainsi que d’autres cas de fraudes.
nbf/ask
Issus des sociétés cotonnières et des unions de sociétés coopératives du bassin cotonnier, du Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole (FIRCA) et du conseil du coton et de l’anacarde, la quarantaine de participants à ce troisième atelier du genre, devront notamment, valider le cahier de charge de l’amélioration du SITRACOT, actualiser le mode opératoire des comités de litige, le code de bonne conduite et la convention avec les structure éligibles.
Le secrétaire exécutif de l’Intercoton, M. Silué Siontiama Jean-Baptiste, représentant le PCA, a félicité les acteurs pour "le bon travail’’ qu’ils ont abattu durant les trois dernières campagnes, avant d’indiquer que leurs efforts ont permis de réduire considérablement les cas de vols de coton à presque "zéro cas" ainsi que les cas d’impayés.
"Vous avez permis à la filière cotonnière de Côte d’Ivoire d’être un exemple dans toute la sous-région3, a-t-il affirmé, exhortant les acteurs à poursuivre avec détermination le travail.
Le directeur de la Compagnie ivoirienne de coton (CIDT), M. coulibaly Mamadou, a fait savoir, pour sa part, que l’investissement dans la mise en œuvre du SITRACOT est important parce qu’il permet "d’éviter les déperditions et d’améliorer fortement la traçabilité" du coton.
Dans le cadre des actions de relance de la filière coton, l’Intercoton a mis en place depuis la campagne 2011/2012, un Système d’identification des producteurs et de la traçabilité du coton (SITRACOT), dans le but d’améliorer la collecte et le traitement des données statistiques dans la filière.
Le système est couplé à une base informatisée qui est installée dans toutes les structures éligibles au conseil agricole et dans toutes les usines de coton. Ceci devrait empêcher notamment, les vols de coton et les détournements de la production d’un paysan ou groupe de paysans au profit d’un opérateur qui ne l’a pas encadré ainsi que d’autres cas de fraudes.
nbf/ask
