Le calvaire des partisans de l’ex-chef de l’Etat, Laurent Gbagbo, ne s’arrêtera certainement jamais sous le régime Ouattara. Selon des sources pénitentiaires, Ils sont au nombre de 360 prisonniers politiques qui croupissent depuis 2011 à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (Maca). Et cela sans jugement.
Nos sources indiquent, en effet, qu’ils sont 360 prisonniers politiques civils et militaires dont des jeunes filles détenus dans des conditions difficiles et inacceptables. La plupart des prisonniers politiques seraient très malades qui ne peuvent se soigner. Ils baignent dans l’indigence la plus totale. Ils sont majoritairement internés au bâtiment C, destiné aux criminels et bandits des grands chemins.
Ces prisonniers politiques sont accusés d’ « atteinte à la sûreté de l’Etat » par le régime Ouattara. Leurs parents qui réclament leur libération sans condition, affirment que le pouvoir actuel les accuse sans preuves d’avoir voulu renverser Alassane Dramane Ouattara du pouvoir.
A la vérité, ces centaines de militaires sont détenus pour s’être mis au service de la nation en défendant les institutions de la République contre la rébellion armée pro-Ouattara pendant la période postélectorale. Quant aux prisonniers politiques civils, ils ont été arrêtés pour la plupart sur dénonciation des ex-rebelles ou des militants Rdr, parti politique dirigé par Alassane Ouattara. Ils sont accusés d’être des partisans du président Laurent Gbagbo. Depuis avril 2011, la Côte d’Ivoire vit sous une dictature au grand dam de la communauté internationale.
Robert Krassault
Nos sources indiquent, en effet, qu’ils sont 360 prisonniers politiques civils et militaires dont des jeunes filles détenus dans des conditions difficiles et inacceptables. La plupart des prisonniers politiques seraient très malades qui ne peuvent se soigner. Ils baignent dans l’indigence la plus totale. Ils sont majoritairement internés au bâtiment C, destiné aux criminels et bandits des grands chemins.
Ces prisonniers politiques sont accusés d’ « atteinte à la sûreté de l’Etat » par le régime Ouattara. Leurs parents qui réclament leur libération sans condition, affirment que le pouvoir actuel les accuse sans preuves d’avoir voulu renverser Alassane Dramane Ouattara du pouvoir.
A la vérité, ces centaines de militaires sont détenus pour s’être mis au service de la nation en défendant les institutions de la République contre la rébellion armée pro-Ouattara pendant la période postélectorale. Quant aux prisonniers politiques civils, ils ont été arrêtés pour la plupart sur dénonciation des ex-rebelles ou des militants Rdr, parti politique dirigé par Alassane Ouattara. Ils sont accusés d’être des partisans du président Laurent Gbagbo. Depuis avril 2011, la Côte d’Ivoire vit sous une dictature au grand dam de la communauté internationale.
Robert Krassault