Ferkessédougou - Les populations de la commune de Ferkessédougou ont été exhortées à adopter les attitudes préventives face à la menace de l'épidémie de la fièvre hémorragique à virus Ebola qui sévit dans la sous-région.
Samedi, au cours d'une séance de sensibilisation initiée par le Conseil municipal, à l'EPP Bad Douane, le directeur du district sanitaire de Ferkessédougou a réitéré son appel à la population à respecter les mesures préventives prônées par le ministère de la Santé et de la Lutte contre le Sida, non sans avoir au préalable défini la maladie, indiqué ses symptômes et conséquences en cas de non-respect de ces mesures.
"A ce jour, il n'y a pas de traitement ni de vaccin confirmés. Tout le monde est exposé. Il faut respecter les mesures de prévention" a insisté Dr Achi qui a demandé aux populations de saisir immédiatement les autorités sanitaires en cas de signes suspects tels que les fièvres accompagnées de maux de tête, les démangeaisons au niveau de la gorge, le corps qui chauffe, les vomissements, la diarrhée, saignements divers, etc.
"On se dit qu'il peut s'agir d'un cas de fièvre Ebola. Donc très rapidement, on doit aviser les autorités sanitaires du service de santé qui est à côté. (...) C'est à l'issue d'analyses qu'on vous donne la certitude qu'il s'agit d'un cas de fièvreEbola. Une fois que le diagnostic est établi, le sujet atteint sera pris en charge", a précisé l'agent de santé.
Le directeur départemental de Santé a demandé aux populations de Ferkessédougou d'éviter les fausses alertes pouvant créer la psychose en leur sein.
Le maire de Ferkessédougou, Ouattara Alain Blidia, a, pour sa part, exprimé l'engagement du Conseil municipal à apporter son soutien au comité local de lutte contre l'Ebola.
Apparue au Soudan et au Congo en 1976, l'épidémie de la fièvre hémorragique à virus Ebola sévit actuellement en Guinée, Sierra-Leone, au Libéria et au Nigéria.
Selon les autorités nationales, il n'existe pas de cas en Côte d'Ivoire. Pour se protéger de cette épidémie qui menace la sous-région, le gouvernement ivoirien préconise auprès des populations, l'observation stricte de mesures préventives telles que le respect rigoureux des mesures d'hygiène, se laver régulièrement les mains au savon, désinfecter vêtements et lieux à l'eau de javel, éviter de se serrer les mains, éviter les accolades et tout autre comportement pouvant exposer au virus qui se transmet par les liquides corporels comme le sang, les sécrétions corporelles, etc.
Ti/kp
Samedi, au cours d'une séance de sensibilisation initiée par le Conseil municipal, à l'EPP Bad Douane, le directeur du district sanitaire de Ferkessédougou a réitéré son appel à la population à respecter les mesures préventives prônées par le ministère de la Santé et de la Lutte contre le Sida, non sans avoir au préalable défini la maladie, indiqué ses symptômes et conséquences en cas de non-respect de ces mesures.
"A ce jour, il n'y a pas de traitement ni de vaccin confirmés. Tout le monde est exposé. Il faut respecter les mesures de prévention" a insisté Dr Achi qui a demandé aux populations de saisir immédiatement les autorités sanitaires en cas de signes suspects tels que les fièvres accompagnées de maux de tête, les démangeaisons au niveau de la gorge, le corps qui chauffe, les vomissements, la diarrhée, saignements divers, etc.
"On se dit qu'il peut s'agir d'un cas de fièvre Ebola. Donc très rapidement, on doit aviser les autorités sanitaires du service de santé qui est à côté. (...) C'est à l'issue d'analyses qu'on vous donne la certitude qu'il s'agit d'un cas de fièvreEbola. Une fois que le diagnostic est établi, le sujet atteint sera pris en charge", a précisé l'agent de santé.
Le directeur départemental de Santé a demandé aux populations de Ferkessédougou d'éviter les fausses alertes pouvant créer la psychose en leur sein.
Le maire de Ferkessédougou, Ouattara Alain Blidia, a, pour sa part, exprimé l'engagement du Conseil municipal à apporter son soutien au comité local de lutte contre l'Ebola.
Apparue au Soudan et au Congo en 1976, l'épidémie de la fièvre hémorragique à virus Ebola sévit actuellement en Guinée, Sierra-Leone, au Libéria et au Nigéria.
Selon les autorités nationales, il n'existe pas de cas en Côte d'Ivoire. Pour se protéger de cette épidémie qui menace la sous-région, le gouvernement ivoirien préconise auprès des populations, l'observation stricte de mesures préventives telles que le respect rigoureux des mesures d'hygiène, se laver régulièrement les mains au savon, désinfecter vêtements et lieux à l'eau de javel, éviter de se serrer les mains, éviter les accolades et tout autre comportement pouvant exposer au virus qui se transmet par les liquides corporels comme le sang, les sécrétions corporelles, etc.
Ti/kp