La Représentante spéciale du Secrétaire général de l'ONU en Côte d'Ivoire Aïchatou Mindaoudou a exprimé lundi à Abidjan l'engagement de la mission onusienne aux côtés du gouvernement ivoirien dans la lutte contre le virus Ebola.
"Nous affirmons notre entière disposition à accompagner les autorités ivoiriennes. Nous verrons ensemble comment nous inscrire dans la stratégie de lutte contre cette fièvre hémorragique", a déclaré Mme Mindaoudou à l'issue d'une rencontre avec les autorités sanitaires ivoiriennes.
La ministre ivoirienne en charge de la Santé Raymonde Goudou Coffie s'est réjouie de l'appui de l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) dans les actions de prévention du virus Ebola, estimant que cet appui pourrait se traduire par "l' accompagnement de nos forces de sécurité dans la surveillance des zones frontalières car il y a des pistes illégales utilisées par des migrants pour entrer dans le pays".
Bien qu'elle n'ait enregistré aucun cas d'Ebola jusqu'ici, la Côte d'Ivoire, partageant des frontières avec le Liberia et la Guinée, frappés tous deux par le virus depuis plusieurs mois, fait preuve d'une grande vigilance.
Le gouvernement ivoirien a décidé de fermer ses frontières terrestres avec la Guinée et le Libéria et de suspendre les vols en provenance et à destination des pays affectés par le virus Ebola.
Le gouvernement a aussi invité les populations à éviter de serrer les mains er de faire des accolades.
Le porte-parole du gouvernement Bruno Koné a justifié ces mesures par le fait que "l'épidémie ne faiblit pas" dans les pays voisins et "cela aggrave les risques de contamination".
Selon, l'Organisation mondiale de la santé (OMS), la maladie a fait plus de 1.400 morts en Afrique de l'Ouest jusqu'à la semaine dernière.
"Nous affirmons notre entière disposition à accompagner les autorités ivoiriennes. Nous verrons ensemble comment nous inscrire dans la stratégie de lutte contre cette fièvre hémorragique", a déclaré Mme Mindaoudou à l'issue d'une rencontre avec les autorités sanitaires ivoiriennes.
La ministre ivoirienne en charge de la Santé Raymonde Goudou Coffie s'est réjouie de l'appui de l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) dans les actions de prévention du virus Ebola, estimant que cet appui pourrait se traduire par "l' accompagnement de nos forces de sécurité dans la surveillance des zones frontalières car il y a des pistes illégales utilisées par des migrants pour entrer dans le pays".
Bien qu'elle n'ait enregistré aucun cas d'Ebola jusqu'ici, la Côte d'Ivoire, partageant des frontières avec le Liberia et la Guinée, frappés tous deux par le virus depuis plusieurs mois, fait preuve d'une grande vigilance.
Le gouvernement ivoirien a décidé de fermer ses frontières terrestres avec la Guinée et le Libéria et de suspendre les vols en provenance et à destination des pays affectés par le virus Ebola.
Le gouvernement a aussi invité les populations à éviter de serrer les mains er de faire des accolades.
Le porte-parole du gouvernement Bruno Koné a justifié ces mesures par le fait que "l'épidémie ne faiblit pas" dans les pays voisins et "cela aggrave les risques de contamination".
Selon, l'Organisation mondiale de la santé (OMS), la maladie a fait plus de 1.400 morts en Afrique de l'Ouest jusqu'à la semaine dernière.