Yamoussoukro - Trente-cinq jeunes des régions du Bélier, de la Marahoué et du Lôh-Djiboua sont formés depuis mardi à Yamoussoukro (centre, région du Bélier) sur les méthodes d'enquête visant à identifier les sites d'orpaillage, en vue d'une organisation et d'une bonne maîtrise du secteur.
L'orpaillage, une activité certes autorisée, est décrié ces dernières années pour sa mauvaise pratique.
La Côte d'Ivoire, envahie par des orpailleurs clandestins, a décidé de réglementer le secteur et de mettre fin aux activités des orpailleurs non autorisés.
Des jeunes diplômés pour la plupart sont formés par le Cabinet d'appui en développement et d'aptitude professionnelle (CADAP), à la demande de l'Etat de Côte d'Ivoire, sur les méthodes d'enquête et l'utilisation du système GPS, pour détecter tous les sites exploités clandestinement.
Leur rôle consistera à identifier tous les sites d'orpaillage et tous les acteurs de la chaîne à faire la catégorisation et la classification pour ''débarrasser la Côte d'Ivoire de la gangrène'', afin d'installer des entrepreneurs légaux et professionnels pour sortir les populations de la pauvreté, a fait savoir, mardi à l'ouverture de l'atelier, le directeur de l'Exploitation artisanale et de Petites mines et carrières du ministère des Mines et de l’Industrie, Abbé Martial.
Présidant la cérémonie d'ouverture de l'atelier, le secrétaire général de la préfecture de Yamoussoukro, Narcisse Sépi Yesso, a fait observer que l'orpaillage, tel que pratiqué ''maintenant'', est un danger pour la Côte d'Ivoire et une menace pour l'économie nationale, ''vu que les acteurs sont inconnus'', a-t-il ajouté.
Il a, en conséquence, conseillé les participants qui auront en charge de l'identification des sites, à ne pas faire ''preuve de laxisme''.
''Votre responsabilité est grande'', a-t-il dit, tout en leur demandant de faire ''preuve de tact et de conviction'', pour amener les orpailleurs clandestins à la confiance et à travailler, de sorte à garantir la réussite de l'opération d'identification des sites et acteurs de l'orpaillage.
(AIP)
Nam/kp
L'orpaillage, une activité certes autorisée, est décrié ces dernières années pour sa mauvaise pratique.
La Côte d'Ivoire, envahie par des orpailleurs clandestins, a décidé de réglementer le secteur et de mettre fin aux activités des orpailleurs non autorisés.
Des jeunes diplômés pour la plupart sont formés par le Cabinet d'appui en développement et d'aptitude professionnelle (CADAP), à la demande de l'Etat de Côte d'Ivoire, sur les méthodes d'enquête et l'utilisation du système GPS, pour détecter tous les sites exploités clandestinement.
Leur rôle consistera à identifier tous les sites d'orpaillage et tous les acteurs de la chaîne à faire la catégorisation et la classification pour ''débarrasser la Côte d'Ivoire de la gangrène'', afin d'installer des entrepreneurs légaux et professionnels pour sortir les populations de la pauvreté, a fait savoir, mardi à l'ouverture de l'atelier, le directeur de l'Exploitation artisanale et de Petites mines et carrières du ministère des Mines et de l’Industrie, Abbé Martial.
Présidant la cérémonie d'ouverture de l'atelier, le secrétaire général de la préfecture de Yamoussoukro, Narcisse Sépi Yesso, a fait observer que l'orpaillage, tel que pratiqué ''maintenant'', est un danger pour la Côte d'Ivoire et une menace pour l'économie nationale, ''vu que les acteurs sont inconnus'', a-t-il ajouté.
Il a, en conséquence, conseillé les participants qui auront en charge de l'identification des sites, à ne pas faire ''preuve de laxisme''.
''Votre responsabilité est grande'', a-t-il dit, tout en leur demandant de faire ''preuve de tact et de conviction'', pour amener les orpailleurs clandestins à la confiance et à travailler, de sorte à garantir la réussite de l'opération d'identification des sites et acteurs de l'orpaillage.
(AIP)
Nam/kp
