Agboville - La fièvre hémorragique Ebola et les nombreuses rumeurs y afférentes ont fini par contraindre plusieurs milliers de jeunes pèlerins catholiques à renoncer à l’édition 2014 des Journées nationales de la jeunesse (JNJ) qui se tiennent depuis jeudi à Agboville, a déclaré, ce vendredi, le père Valentin Brou, vicaire de la cathédrale nationale Saint-Jean Marie Vianney d'Agboville.
« Nous constatons que la rumeur a conduit des parents à déconseiller la participation à l’édition 2014 », a déploré le directeur diocésain des œuvres catholiques, lors d’un entretien avec la presse, en marge des JNJ.
Le prêtre a indiqué que sur plus de 5000 pèlerins attendus des quinze diocèses de Côte d’Ivoire, moins de 1 500 jeunes ont effectivement effectué le déplacement d’Agboville. « Il n y a pas d’Ebola à Agboville », a-t-il rassuré, avant d’exhorter les retardataires à venir.
Le père Valentin Brou a néanmoins marqué sa satisfaction pour la participation massive de jeunes venus de certains diocèses éloignés comme ceux de Bondoukou et de Katiola. « Ça fait plaisir et cela montre l’attachement de la jeunesse à Jésus-Christ », a-t-il soutenu.
La présente édition des JNJ est prévue pour se tenir les jeudi 28, vendredi 29, samedi 30 et dimanche 31 août.
Il s'agit de réunir, pendant ces quatre jours, des jeunes filles et hommes sur trois sites dénommés ‘’villages’’. Chaque village abrite un certain nombre de jeunes issus de différents diocèses.
C'est à l'intérieur de ces sites d'accueil que chaque diocèse devra organiser ses activités. Tous convergeront, samedi, vers la place de la paix d'Agboville, pour la grande veillée qui aura lieu avec tous les évêques de Côte d'Ivoire et le Nonce apostolique.
Le thème des JNJ est tiré du livre de Matthieu 5, verset 3 qui dit : ' Heureux les pauvres en esprit, car le royaume des cieux est à eux'.
Les précédentes éditions se sont tenues à Yamoussoukro en 2007, à Bouaké en 2009 et à Gagnoa en 2012.
Tous les jeunes de Côte d'Ivoire, particulièrement les catholiques, sont au centre de ces journées.
La fièvre hémorragique Ebola sévit dans plusieurs pays de la sous-région, mais n’a pas encore été déclarée sur le sol ivoirien, précise-t-on.
(AIP)
dd/kkp/tm
« Nous constatons que la rumeur a conduit des parents à déconseiller la participation à l’édition 2014 », a déploré le directeur diocésain des œuvres catholiques, lors d’un entretien avec la presse, en marge des JNJ.
Le prêtre a indiqué que sur plus de 5000 pèlerins attendus des quinze diocèses de Côte d’Ivoire, moins de 1 500 jeunes ont effectivement effectué le déplacement d’Agboville. « Il n y a pas d’Ebola à Agboville », a-t-il rassuré, avant d’exhorter les retardataires à venir.
Le père Valentin Brou a néanmoins marqué sa satisfaction pour la participation massive de jeunes venus de certains diocèses éloignés comme ceux de Bondoukou et de Katiola. « Ça fait plaisir et cela montre l’attachement de la jeunesse à Jésus-Christ », a-t-il soutenu.
La présente édition des JNJ est prévue pour se tenir les jeudi 28, vendredi 29, samedi 30 et dimanche 31 août.
Il s'agit de réunir, pendant ces quatre jours, des jeunes filles et hommes sur trois sites dénommés ‘’villages’’. Chaque village abrite un certain nombre de jeunes issus de différents diocèses.
C'est à l'intérieur de ces sites d'accueil que chaque diocèse devra organiser ses activités. Tous convergeront, samedi, vers la place de la paix d'Agboville, pour la grande veillée qui aura lieu avec tous les évêques de Côte d'Ivoire et le Nonce apostolique.
Le thème des JNJ est tiré du livre de Matthieu 5, verset 3 qui dit : ' Heureux les pauvres en esprit, car le royaume des cieux est à eux'.
Les précédentes éditions se sont tenues à Yamoussoukro en 2007, à Bouaké en 2009 et à Gagnoa en 2012.
Tous les jeunes de Côte d'Ivoire, particulièrement les catholiques, sont au centre de ces journées.
La fièvre hémorragique Ebola sévit dans plusieurs pays de la sous-région, mais n’a pas encore été déclarée sur le sol ivoirien, précise-t-on.
(AIP)
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