Toujours pressée, celle qui se fait appeler "Dr Mara" court d'un service à l'autre de l'hôpital Donka de Conakry avec la tenue et les gants qu'elle a achetés à ses frais pour se protéger du virus Ebola.
Tout comme cette infirmière de la capitale guinéenne, manquant souvent de tout, les personnels de santé se sacrifient pour arrêter la terrible épidémie qui frappe l'Afrique de l'Ouest, souvent au prix de leur vie.
L'Organisation mondiale de la santé s'est alarmée le 25 août de la proportion "sans précédent de médecins, d'infirmiers, d?infirmières et d?autres agents de santé" contaminés par la fièvre hémorragique. suite de l'article sur Jeune Afrique
Tout comme cette infirmière de la capitale guinéenne, manquant souvent de tout, les personnels de santé se sacrifient pour arrêter la terrible épidémie qui frappe l'Afrique de l'Ouest, souvent au prix de leur vie.
L'Organisation mondiale de la santé s'est alarmée le 25 août de la proportion "sans précédent de médecins, d'infirmiers, d?infirmières et d?autres agents de santé" contaminés par la fièvre hémorragique. suite de l'article sur Jeune Afrique