L'épidémie d'Ebola qui se propage en Afrique de l'ouest est "la plus importante jamais enregistrée" mais "elle peut et va être maîtrisée", ont indiqué mardi de hauts officiels de l'ONU.
Le vice-secrétaire général de l'ONU, Jan Eliasson, la directrice générale de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Margaret Chan, et David Nabarro, le coordonnateur principal du dispositif de l'ONU pour lutter contre l'Ebola, étaient présents à une réunion d'information pour les Etats membres sur la réponses de l'ONU à l'épidémie d'Ebola en Afrique de l'ouest.
"En ce qui concerne l'ONU, c'est l'un des problèmes sanitaires les plus graves que nous ayons jamais rencontrés", a indiqué M. Eliasson, soulignant que la crise "est critique et profondément inquiétante".
"Il s'agit non seulement d'une crise sanitaire mais de plus en plus, d'une crise de développement, humanitaire, et sécuritaire, potentiellement", a indiqué M. Eliasson.
"Tout le système de l'ONU est mobilisé pour agir et [...] nous allons devenir de plus en plus dépendants des actions prises par les Etats membres", a-t-il souligné.
"C'est la plus importante, la plus grave et la plus complexe épidémie d'Ebola depuis que la maladie a été découverte il y a près de 40 ans", a indiqué Margaret Chan.
"L'Ebola est devenue une menace mondiale qui nécessite des efforts mondiaux en solidarité avec les pays affectés", a indiqué la chef de l'OMS.
"L'épidémie peut être maîtrisée et elle va l'être", a-t-elle indiqué. "Nous savons ce qui est nécessaire et nous savons comment le faire".
Selon l'OMS, le nombre total de cas d'Ebola en Guinée, au Liberia, au Nigeria et en Sierra Leone s'élève désormais à 3.069, dont plus de 1.552 ont été mortels.
Le vice-secrétaire général de l'ONU, Jan Eliasson, la directrice générale de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Margaret Chan, et David Nabarro, le coordonnateur principal du dispositif de l'ONU pour lutter contre l'Ebola, étaient présents à une réunion d'information pour les Etats membres sur la réponses de l'ONU à l'épidémie d'Ebola en Afrique de l'ouest.
"En ce qui concerne l'ONU, c'est l'un des problèmes sanitaires les plus graves que nous ayons jamais rencontrés", a indiqué M. Eliasson, soulignant que la crise "est critique et profondément inquiétante".
"Il s'agit non seulement d'une crise sanitaire mais de plus en plus, d'une crise de développement, humanitaire, et sécuritaire, potentiellement", a indiqué M. Eliasson.
"Tout le système de l'ONU est mobilisé pour agir et [...] nous allons devenir de plus en plus dépendants des actions prises par les Etats membres", a-t-il souligné.
"C'est la plus importante, la plus grave et la plus complexe épidémie d'Ebola depuis que la maladie a été découverte il y a près de 40 ans", a indiqué Margaret Chan.
"L'Ebola est devenue une menace mondiale qui nécessite des efforts mondiaux en solidarité avec les pays affectés", a indiqué la chef de l'OMS.
"L'épidémie peut être maîtrisée et elle va l'être", a-t-elle indiqué. "Nous savons ce qui est nécessaire et nous savons comment le faire".
Selon l'OMS, le nombre total de cas d'Ebola en Guinée, au Liberia, au Nigeria et en Sierra Leone s'élève désormais à 3.069, dont plus de 1.552 ont été mortels.