L'Organisation mondiale de la santé (OMS) réunit jeudi et vendredi à Genève des experts et des personnes oeuvrant à endiguer la maladie à virus Ebola en Afrique de l'Ouest pour discuter des traitements et vaccins potentiels contre ce virus.
"La flambée actuelle de virus Ebola en Afrique de l'Ouest est sans précédente par son ampleur et sa complexité et par la charge qu'elle impose aux systèmes de santé. Il existe une demande et un intérêt forts de la part du public pour toute solution qui offrirait l'espoir d'un traitement définitif ", souligne l'OMS dans un communiqué de presse.
Toute une gamme d'interventions n'ayant pas fait leurs preuves (produits sanguins, thérapies immunitaires médicaments et vaccins) sont en cours de développement à des stades divers, mais aucun d'eux n'a encore été homologué pour un usage standard.
Au début du mois d'août, un groupe d'experts convoqué par l'OMS a conclu que, dans les circonstances particulières de cette flambée et sous réserve que certaines conditions soient remplies, il était conforme à l'éthique de proposer de telles interventions n'ayant pas encore fait leurs preuves en tant que traitements ou prophylaxies potentiels de l'infection.
La réunion de jeudi et vendredi rassemble des experts travaillant dans le champ des interventions contre le virus Ebola ainsi que des personnes œuvrant à endiguer la maladie, dont des décideurs politiques provenant de pays touchés, des spécialistes de l'éthique, des cliniciens, des chercheurs, des personnes participant à l'élaboration de la réglementation et des représentants des patients.
Au 31 août 2014, le nombre de cas d'Ebola en Afrique de l'Ouest s'élevait à 3407 et le nombre de décès à 1848. La majorité des cas et des décès ont été signalés dans trois pays : la Guinée, le Libéria et la Sierra Leone. Le Nigéria compte 21 cas et 7 décès. Et le Sénégal a désormais un cas confirmé d'Ebola.
"La flambée actuelle de virus Ebola en Afrique de l'Ouest est sans précédente par son ampleur et sa complexité et par la charge qu'elle impose aux systèmes de santé. Il existe une demande et un intérêt forts de la part du public pour toute solution qui offrirait l'espoir d'un traitement définitif ", souligne l'OMS dans un communiqué de presse.
Toute une gamme d'interventions n'ayant pas fait leurs preuves (produits sanguins, thérapies immunitaires médicaments et vaccins) sont en cours de développement à des stades divers, mais aucun d'eux n'a encore été homologué pour un usage standard.
Au début du mois d'août, un groupe d'experts convoqué par l'OMS a conclu que, dans les circonstances particulières de cette flambée et sous réserve que certaines conditions soient remplies, il était conforme à l'éthique de proposer de telles interventions n'ayant pas encore fait leurs preuves en tant que traitements ou prophylaxies potentiels de l'infection.
La réunion de jeudi et vendredi rassemble des experts travaillant dans le champ des interventions contre le virus Ebola ainsi que des personnes œuvrant à endiguer la maladie, dont des décideurs politiques provenant de pays touchés, des spécialistes de l'éthique, des cliniciens, des chercheurs, des personnes participant à l'élaboration de la réglementation et des représentants des patients.
Au 31 août 2014, le nombre de cas d'Ebola en Afrique de l'Ouest s'élevait à 3407 et le nombre de décès à 1848. La majorité des cas et des décès ont été signalés dans trois pays : la Guinée, le Libéria et la Sierra Leone. Le Nigéria compte 21 cas et 7 décès. Et le Sénégal a désormais un cas confirmé d'Ebola.