Ouagadougou (Burkina) - Des experts de cinq pays d’Afrique (Burkina Faso, Mali, Niger, Ethiopie et Kenya) ont entamé jeudi à Ouagadougou, un atelier sous régional sur la sécurité alimentaire, organisé par le centre international de l’agroforesterie (ICRAF).
La rencontre qui réunit une trentaine de participants, va permettre de plancher sur le système de suivi évaluation et d'apprentissage du programme régional de l'ICRAF au Sahel et dans la Corne de l'Afrique.
Le programme régional développé par le Centre international de l'agroforesterie (ICRAF) dont le siège est à Nairobi, au Kenya, est intitulé "amélioration de la sécurité alimentaire et hydrique pour le développement économique rural".
La mise en œuvre du programme concerne les zones rurales dans la partie sahélienne de l'Afrique occidentale regroupant le Burkina Faso, le Mali et le Niger et dans la Corne de l'Afrique et s'intéresse aussi à l'Ethiopie et au Kenya.
Ce programme s'étale sur cinq ans et est financé par le gouvernement néerlandais.
Il a pour objectif principal l'amélioration de la sécurité alimentaire et hydrique ainsi que le développement économique des populations rurales dans ces zones d'intervention.
C'est ainsi que le programme se fixe l'objectif de contribuer au passage de l'agriculture de subsistance et de l'aide d'urgence au développement rural durable par l'augmentation de la sécurité alimentaire et hydrique au sein des communautés par les populations rurales.
Il tend aussi à promouvoir un meilleur accès aux marchés et un renforcement de l'économie locale pour les différentes catégories de producteurs.
Lancé en janvier 2014, l'ICRAF entend débuter l'exécution de ses activités. Pour ce faire, des participants issus des partenaires du projet au Sahel, des représentants de l'ICRAF, des membres du groupe d'appui au projet ainsi que des représentants d'organisations nationales et internationales se concertent à Ouagadougou les 4 et 5 septembre, afin de mieux échanger sur le système de suivi-évaluation et d'apprentissage du projet proprement dit.
Au cours de cet atelier, il sera aussi question du changement du nom du programme, car une confusion d'appellation se fait sentir entre les partenaires. Des recommandations antérieurement formulées seront analysées à cette rencontre.
Le présent atelier de la capitale burkinabè fait suite à un autre tenu en juillet dernier à Nairobi et ayant concerné les pays bénéficiaires de la Corne de l'Afrique.
ALK/od/APA
La rencontre qui réunit une trentaine de participants, va permettre de plancher sur le système de suivi évaluation et d'apprentissage du programme régional de l'ICRAF au Sahel et dans la Corne de l'Afrique.
Le programme régional développé par le Centre international de l'agroforesterie (ICRAF) dont le siège est à Nairobi, au Kenya, est intitulé "amélioration de la sécurité alimentaire et hydrique pour le développement économique rural".
La mise en œuvre du programme concerne les zones rurales dans la partie sahélienne de l'Afrique occidentale regroupant le Burkina Faso, le Mali et le Niger et dans la Corne de l'Afrique et s'intéresse aussi à l'Ethiopie et au Kenya.
Ce programme s'étale sur cinq ans et est financé par le gouvernement néerlandais.
Il a pour objectif principal l'amélioration de la sécurité alimentaire et hydrique ainsi que le développement économique des populations rurales dans ces zones d'intervention.
C'est ainsi que le programme se fixe l'objectif de contribuer au passage de l'agriculture de subsistance et de l'aide d'urgence au développement rural durable par l'augmentation de la sécurité alimentaire et hydrique au sein des communautés par les populations rurales.
Il tend aussi à promouvoir un meilleur accès aux marchés et un renforcement de l'économie locale pour les différentes catégories de producteurs.
Lancé en janvier 2014, l'ICRAF entend débuter l'exécution de ses activités. Pour ce faire, des participants issus des partenaires du projet au Sahel, des représentants de l'ICRAF, des membres du groupe d'appui au projet ainsi que des représentants d'organisations nationales et internationales se concertent à Ouagadougou les 4 et 5 septembre, afin de mieux échanger sur le système de suivi-évaluation et d'apprentissage du projet proprement dit.
Au cours de cet atelier, il sera aussi question du changement du nom du programme, car une confusion d'appellation se fait sentir entre les partenaires. Des recommandations antérieurement formulées seront analysées à cette rencontre.
Le présent atelier de la capitale burkinabè fait suite à un autre tenu en juillet dernier à Nairobi et ayant concerné les pays bénéficiaires de la Corne de l'Afrique.
ALK/od/APA