Abidjan – Onze présidents directeurs généraux (PDG) de compagnies opérant en Afrique de l’ouest dont la société d’exploration aurifère, Randgold Resources, appellent la communauté internationale à consolider la lutte contre l’Ebola et se félicitent du discours du président des USA, Barack Obama, de renforcer le soutien militaire américain.
Ces compagnies ont exprimé leur préoccupation concernant l’impact du virus Ebola sur l’économie des pays endémiques et le bien-être de leurs populations, ce qui a causé la prise de décisions et actions qui affectent les voyages et le commerce dans la région.
D’après un communiqué de Randgold Resources transmis lundi à l’AIP, depuis Londres, ces sociétés disent avoir pris un engagement à long terme avec ces pays et leurs ressortissants, expliquant qu’elles entendent honorer cette promesse.
«Nous avons des liens forts avec des centaines de communautés locales qui dépendent de nos opérations. En dépit de l’environnement concurrentiel, nous continuons, où il est possible de le faire, mener des activités normales, avec la santé et la sécurité de nos employés comme la priorité absolue à tout moment », précise la note.
Ces compagnies déclarent avoir un grand respect pour les organisations et les personnes volontaires qui œuvrent à contenir l’épidémie, en s’engageant auprès des gouvernements. Etant, souligne le texte, un groupe qui tient des dialogues réguliers avec les gouvernements, les ONG et les groupes de travail impliqués dans le combat, en vue de leur apporter un appui.
Les 11 compagnies dissent reconnaître aussi qu’une large coordination globale est nécessaire, estimant que la communauté internationale détient une solide feuille de route pour apporter une riposte aux désastres naturels tels les ouragans et les tremblements de terre.
« Nous avons besoin d’une force similaire pour aborder cette épidémie qui a le potentiel de causer un grand dommage à cette région », précise le communiqué qui urge la communauté internationale à s’investir davantage dans la guerre contre le virus Ebola afin de permettre aux pays concernés de trouver une réponse face à l’épidémie qui a fait, depuis décembre, plus de 2.000 morts principalement en guinée, au Liberia et en sierra Léone.
(AIP)
cmas
Ces compagnies ont exprimé leur préoccupation concernant l’impact du virus Ebola sur l’économie des pays endémiques et le bien-être de leurs populations, ce qui a causé la prise de décisions et actions qui affectent les voyages et le commerce dans la région.
D’après un communiqué de Randgold Resources transmis lundi à l’AIP, depuis Londres, ces sociétés disent avoir pris un engagement à long terme avec ces pays et leurs ressortissants, expliquant qu’elles entendent honorer cette promesse.
«Nous avons des liens forts avec des centaines de communautés locales qui dépendent de nos opérations. En dépit de l’environnement concurrentiel, nous continuons, où il est possible de le faire, mener des activités normales, avec la santé et la sécurité de nos employés comme la priorité absolue à tout moment », précise la note.
Ces compagnies déclarent avoir un grand respect pour les organisations et les personnes volontaires qui œuvrent à contenir l’épidémie, en s’engageant auprès des gouvernements. Etant, souligne le texte, un groupe qui tient des dialogues réguliers avec les gouvernements, les ONG et les groupes de travail impliqués dans le combat, en vue de leur apporter un appui.
Les 11 compagnies dissent reconnaître aussi qu’une large coordination globale est nécessaire, estimant que la communauté internationale détient une solide feuille de route pour apporter une riposte aux désastres naturels tels les ouragans et les tremblements de terre.
« Nous avons besoin d’une force similaire pour aborder cette épidémie qui a le potentiel de causer un grand dommage à cette région », précise le communiqué qui urge la communauté internationale à s’investir davantage dans la guerre contre le virus Ebola afin de permettre aux pays concernés de trouver une réponse face à l’épidémie qui a fait, depuis décembre, plus de 2.000 morts principalement en guinée, au Liberia et en sierra Léone.
(AIP)
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