Une trentaine de spécialistes venus d’une vingtaine de pays africains, participent à Cotonou au 22ème cours international sur le contrôle de la tuberculose, basé sur la mise en oeuvre d’un programme moderne intégré contre la maladie.
"Ce cours (...) se veut essentiellement pratique tout en apportant aux participants les éléments théoriques ayant conduit au développement des méthodes modernes de maîtrise de la tuberculose", a confié à Xinhua le Dr Arnaud Trébucq, représentant de l’Union internationale contre la tuberculose et les maladies respiratoires.
"A la fin du cours, le participant aura une connaissance approfondie des éléments permettant de mener à bien un programme et notamment de développer le réseau de bacilloscopie et en contrôler la qualité, et de définir le rôle d’un laboratoire de référence, évaluer le problème posé par les patients multi résistants et discuter leur prise en charge", a-t-il précisé.
Selon le Dr Trébucq, la tuberculose reste un problème de santé publique en Afrique, malgré les progrès "considérables" au cours des 20 ans passés.
"Le génie épidémiologique propre à la tuberculose fait que ce combat est long et ne se gagne pas en quelques années", a-t-il déploré, soulignant la nécessité d’une volonté politique des dirigeants en charge de la santé.
Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la tuberculose est plus que jamais une maladie d’importance par le nombre de cas qui surviennent dans les pays à faible revenu, et elle est directement responsable de 26% des décès évitables dans les groupes d’âge actifs (15-59 ans).
"Ce cours (...) se veut essentiellement pratique tout en apportant aux participants les éléments théoriques ayant conduit au développement des méthodes modernes de maîtrise de la tuberculose", a confié à Xinhua le Dr Arnaud Trébucq, représentant de l’Union internationale contre la tuberculose et les maladies respiratoires.
"A la fin du cours, le participant aura une connaissance approfondie des éléments permettant de mener à bien un programme et notamment de développer le réseau de bacilloscopie et en contrôler la qualité, et de définir le rôle d’un laboratoire de référence, évaluer le problème posé par les patients multi résistants et discuter leur prise en charge", a-t-il précisé.
Selon le Dr Trébucq, la tuberculose reste un problème de santé publique en Afrique, malgré les progrès "considérables" au cours des 20 ans passés.
"Le génie épidémiologique propre à la tuberculose fait que ce combat est long et ne se gagne pas en quelques années", a-t-il déploré, soulignant la nécessité d’une volonté politique des dirigeants en charge de la santé.
Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la tuberculose est plus que jamais une maladie d’importance par le nombre de cas qui surviennent dans les pays à faible revenu, et elle est directement responsable de 26% des décès évitables dans les groupes d’âge actifs (15-59 ans).