Au total 252 personnes ont été refoulées aux postes de contrôle frontaliers du Nord de la Côte d'Ivoire conformément aux mesures prises par le gouvernement ivoirien pour empêcher l'entrée sur le territoire national du virus Ebola qui sévit dans des pays voisins.
Ces personnes ont été refoulées dans la période du 4 mars au 7 septembre à Pogo (frontière avec le Mali) et Laléraba (frontière avec le Burkina Faso), selon le quotidien gouvernemental ivoirien Fraternité Matin qui rapporte l'information.
Au nombre de ces personnes majoritairement de nationalité guinéenne figurent des Sénégalais, des Togolais, des Nigérians mais également des ressortissants ivoiriens.
Jusqu'ici, la fièvre à virus Ebola a fait plus de 2.280 morts en Sierra Leone, au Liberia, au Nigeria et en Guinée.
La Côte d'Ivoire, non encore touchée, a fermé depuis le 22 août ses frontières terrestres à l'Ouest avec le Liberia et la Guinée tout en autorisant des "couloirs humanitaires, économiques et sanitaires" en direction de ces pays.
Le gouvernement ivoirien a également suspendu les vols en provenance ou à destination des pays touchés.
A l'en croire, ces mesures s'inscrivent "dans le strict cadre des mesures préventives destinées à protéger l'ensemble des populations y compris étrangères vivant sur le territoire ivoirien ".
Lundi, l'Union africaine (UA) a appelé les pays africains à lever toutes les restrictions au voyage "afin que les gens puissent se déplacer entre pays et faire du commerce et afin de favoriser les activités économiques".
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) est également contre la fermeture des frontières, estimant que la mesure fragilise, sur le plan sanitaire et économique, les pays touchés par l'épidémie.
Ces personnes ont été refoulées dans la période du 4 mars au 7 septembre à Pogo (frontière avec le Mali) et Laléraba (frontière avec le Burkina Faso), selon le quotidien gouvernemental ivoirien Fraternité Matin qui rapporte l'information.
Au nombre de ces personnes majoritairement de nationalité guinéenne figurent des Sénégalais, des Togolais, des Nigérians mais également des ressortissants ivoiriens.
Jusqu'ici, la fièvre à virus Ebola a fait plus de 2.280 morts en Sierra Leone, au Liberia, au Nigeria et en Guinée.
La Côte d'Ivoire, non encore touchée, a fermé depuis le 22 août ses frontières terrestres à l'Ouest avec le Liberia et la Guinée tout en autorisant des "couloirs humanitaires, économiques et sanitaires" en direction de ces pays.
Le gouvernement ivoirien a également suspendu les vols en provenance ou à destination des pays touchés.
A l'en croire, ces mesures s'inscrivent "dans le strict cadre des mesures préventives destinées à protéger l'ensemble des populations y compris étrangères vivant sur le territoire ivoirien ".
Lundi, l'Union africaine (UA) a appelé les pays africains à lever toutes les restrictions au voyage "afin que les gens puissent se déplacer entre pays et faire du commerce et afin de favoriser les activités économiques".
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) est également contre la fermeture des frontières, estimant que la mesure fragilise, sur le plan sanitaire et économique, les pays touchés par l'épidémie.