Exilé du pays depuis la crise post-électorale, l’artiste chanteur Paul Mady’s Tigbala, auteur d’une chanson de soutien à l’ex-régime au pouvoir, n’a pas l’esprit en paix. Isolé de sa famille biologique, de son entourage professionnel et de ses fans, il est habité par la nostalgie de ces derniers.
Le moment est-il venu pour l’artiste chanteur Paul Mady’s Tigbala de retourner au bercail après trois années passées hors du pays ? Sans nous donner une réponse favorable, le chanteur nous dira : « Cela ne se raconte pas. Ça se vit. Le monde me manque depuis mes enfants, mes frères et sœurs en passant par celle que Dieu m’a permis de rencontrer dans ma vie et qui l’a partage au quotidien. Sans oublier mes amis, mon ancien staff managérial, mes fans, et bien d’autres ».
Telle est la réponse de l’auteur de la chanson « Arrêtez » fredonnée à un moment où le pays connaissait des difficultés dues à la crise. A l’analyse du propos de l’artiste qui a échangé avec nous via un réseau social, tout porte à croire que la Côte d’Ivoire tout entière lui fait défaut. Et ce, malgré la poursuite de ses activités professionnelles, dans un pays qu’il garde secret, après son départ du Ghana, voisin. Paul ne le dit pas clairement, mais il laisse quelques regrets de ne pas être auprès de certaines personnes qui lui sont chères.
Quoi de plus normal et humain de vivre en symbiose avec son environnement immédiat. Loin des tintamarres politiques qui ont failli conduire le navire ivoire dans un véritable chaos, certains artistes tels que John Yalley, Aïcha Koné, Pat Sacko sortis du pays pendant la crise, ont pris la résolution de revenir sans heurts. Sollicitée par la Première Dame Dominique Ouattara lors de son dernier Gala au compte de la Fondation Children of Africa, la diva n’a pas hésité à donner un avis favorable sur l’invitation.
Avec tant d’émotions et de chauvinisme, Aïcha Koné a embouché la trompette de la paix au grand bonheur de ses fans, parents et tous les Ivoiriens qui ont décidé de tourner cette page noire de la Côte d’Ivoire. Comme ces artistes à qui, les autorités en place ont tendu la main à travers plusieurs appels,
Paul Mady’s est, disons-le, libre d’entrer et sortir de son pays natal. Surtout qu’il est bien évidemment porté dans le cœur de nombreux Ivoiriens qui lui traduisent leur affection. « Beaucoup de personnes m’appellent.
Ou bien s’adressent à moi via le net et me manifestent toujours leur amour. Je peux vous jurer. Cela me fait beaucoup de bien de savoir qu’après trois (3) ans d’exil, on est toujours dans le cœur des Ivoiriens. Je rends toute la gloire à Dieu. En même temps, je me dis que j’ai fait un travail remarquable », nous a confié l’artiste. Croquant l’actualité sur le continent africain, l’artiste n’est pas sans nouvelle de la propagation de l’hémorragie à virus Ebola.
Pour lui, la présence de cette pathologie très mortelle sur le sol africain est une menace à prendre au sérieux. « C’est triste de voir que ce mal vient s’ajouter à toute cette souffrance des Ivoiriens en particulier et des Africains en général. C’est vraiment dommage. Je prie chaque instant de ma vie pour que ce mal épargne la Côte d’Ivoire », a-t-il dit pour compatir à l’angoisse et au danger qui guette le peuple africain qui compte de milliers de morts causés par cette maladie en si peu de temps.
Aimé Dinguy’s N
Le moment est-il venu pour l’artiste chanteur Paul Mady’s Tigbala de retourner au bercail après trois années passées hors du pays ? Sans nous donner une réponse favorable, le chanteur nous dira : « Cela ne se raconte pas. Ça se vit. Le monde me manque depuis mes enfants, mes frères et sœurs en passant par celle que Dieu m’a permis de rencontrer dans ma vie et qui l’a partage au quotidien. Sans oublier mes amis, mon ancien staff managérial, mes fans, et bien d’autres ».
Telle est la réponse de l’auteur de la chanson « Arrêtez » fredonnée à un moment où le pays connaissait des difficultés dues à la crise. A l’analyse du propos de l’artiste qui a échangé avec nous via un réseau social, tout porte à croire que la Côte d’Ivoire tout entière lui fait défaut. Et ce, malgré la poursuite de ses activités professionnelles, dans un pays qu’il garde secret, après son départ du Ghana, voisin. Paul ne le dit pas clairement, mais il laisse quelques regrets de ne pas être auprès de certaines personnes qui lui sont chères.
Quoi de plus normal et humain de vivre en symbiose avec son environnement immédiat. Loin des tintamarres politiques qui ont failli conduire le navire ivoire dans un véritable chaos, certains artistes tels que John Yalley, Aïcha Koné, Pat Sacko sortis du pays pendant la crise, ont pris la résolution de revenir sans heurts. Sollicitée par la Première Dame Dominique Ouattara lors de son dernier Gala au compte de la Fondation Children of Africa, la diva n’a pas hésité à donner un avis favorable sur l’invitation.
Avec tant d’émotions et de chauvinisme, Aïcha Koné a embouché la trompette de la paix au grand bonheur de ses fans, parents et tous les Ivoiriens qui ont décidé de tourner cette page noire de la Côte d’Ivoire. Comme ces artistes à qui, les autorités en place ont tendu la main à travers plusieurs appels,
Paul Mady’s est, disons-le, libre d’entrer et sortir de son pays natal. Surtout qu’il est bien évidemment porté dans le cœur de nombreux Ivoiriens qui lui traduisent leur affection. « Beaucoup de personnes m’appellent.
Ou bien s’adressent à moi via le net et me manifestent toujours leur amour. Je peux vous jurer. Cela me fait beaucoup de bien de savoir qu’après trois (3) ans d’exil, on est toujours dans le cœur des Ivoiriens. Je rends toute la gloire à Dieu. En même temps, je me dis que j’ai fait un travail remarquable », nous a confié l’artiste. Croquant l’actualité sur le continent africain, l’artiste n’est pas sans nouvelle de la propagation de l’hémorragie à virus Ebola.
Pour lui, la présence de cette pathologie très mortelle sur le sol africain est une menace à prendre au sérieux. « C’est triste de voir que ce mal vient s’ajouter à toute cette souffrance des Ivoiriens en particulier et des Africains en général. C’est vraiment dommage. Je prie chaque instant de ma vie pour que ce mal épargne la Côte d’Ivoire », a-t-il dit pour compatir à l’angoisse et au danger qui guette le peuple africain qui compte de milliers de morts causés par cette maladie en si peu de temps.
Aimé Dinguy’s N
