Les inscriptions dans les universités publiques et grandes écoles sont prorogées jusqu'au 29 septembre, "pour permettre à ceux qui ne se sont pas encore inscrits de le faire", a annoncé, mercredi, à Abidjan, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Gnamien Konan, après l’expiration, le 29 août, de la première date limite.
Sur un total de près de 80.000 étudiants, près de 15.000 ne s’étaient pas encore inscrits au 29 août.
Gnamien Konan a concédé cette rallonge lors d’une rencontre, à son cabinet, avec des leaders d’associations estudiantines, en prélude à la rentrée académique 2014-2015 fixée au 2 octobre.
En leur accordant ce dernier sursis, Gnamien Konan les a prévenus qu’ils doivent changer de comportement et comprendre qu’ils contribueront désormais aux frais de leur formation, dont une étude de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) indique qu’elle devrait coûter au moins 1,2 millions de FCFA par an dans cet espace sous-régional, pour être de qualité.
Fixés à 100.000 FCFA en Licence, 200.000 FCFA en Master et 300.000 FCFA au Doctorat à la reprise des cours après deux années de fermeture, le gouvernement a subventionné les frais d’inscription à hauteur de 75%, les ramenant respectivement à 30.000, 60.000 et 90.000. Cette subvention prend fin cette année.
Aux 80.000 étudiants des universités et grandes écoles publiques, viennent s’ajouter 45.000 nouveaux bacheliers sur 70.000 admis.
aaa/kkp/ask
Sur un total de près de 80.000 étudiants, près de 15.000 ne s’étaient pas encore inscrits au 29 août.
Gnamien Konan a concédé cette rallonge lors d’une rencontre, à son cabinet, avec des leaders d’associations estudiantines, en prélude à la rentrée académique 2014-2015 fixée au 2 octobre.
En leur accordant ce dernier sursis, Gnamien Konan les a prévenus qu’ils doivent changer de comportement et comprendre qu’ils contribueront désormais aux frais de leur formation, dont une étude de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) indique qu’elle devrait coûter au moins 1,2 millions de FCFA par an dans cet espace sous-régional, pour être de qualité.
Fixés à 100.000 FCFA en Licence, 200.000 FCFA en Master et 300.000 FCFA au Doctorat à la reprise des cours après deux années de fermeture, le gouvernement a subventionné les frais d’inscription à hauteur de 75%, les ramenant respectivement à 30.000, 60.000 et 90.000. Cette subvention prend fin cette année.
Aux 80.000 étudiants des universités et grandes écoles publiques, viennent s’ajouter 45.000 nouveaux bacheliers sur 70.000 admis.
aaa/kkp/ask