Dans un rapport dont l’AIP a reçu copie lundi 19 juillet 2021, le syndicat national des agents de l’enseignement supérieur section du centre régional des œuvres universitaire de Bouaké (CROU-B) dénonce la "gestion opaque" de la directrice de cette structure chargée de l’amélioration des conditions de vie et de travail des étudiants.
Au nombre de la kyrielle de reproches faits par cette organisation syndicale à la première responsable du CROU-B, Mme Brou N’goran, figurent la gestion cavalière des heures supplémentaires, le non reversement des prélèvements CNPS des agents contractuels, la violation du principe de promotion selon les grades et catégories de la fonction publique, les intimidations et menaces systématiques de mutation des fonctionnaires ou de licenciement des agents contractuels.
Il est également reproché à Mme Brou de reformer clandestinement les véhicules du CROU-B à son seul profit, la promotion d’un "maladroit slogan" selon lequel, "point besoin de diplômes ni de grade pour servir au CROU-B", l’octroi à elle-même de sommes faramineuses au titre d’heures supplémentaires pendant qu’elle refuse d’en payer aux agents.
Selon le secrétaire général de la section CROU-B, Sékongo Noël Sévérin, ce climat de peur ou de menace permanente et le favoritisme instauré par la directrice amenuisent la bonne entente, la bonne collaboration et les performances du CROU-B.
En guise de solution, le syndicat propose une panoplie de solutions. A savoir, entre autres, l’arrêt des menaces, intimidations et attaques qui créent un climat de terreur au CROU-BOU, l’élaboration d’une grille de paiement des heures supplémentaires basé sur les grades, les fonctions et au prorata de la subvention, le paiement intégral des cotisations CNPS des agents contractuels et la réintégration de l’agent Irié Bi Gonedré et le paiement de ses droits pour licenciement abusif.
Les agents du CROU-B réclament comme solution ultime le départ de Mme Brou N’goran de la tête du CROU-B en cas de refus de sa part de mettre en application ses propositions de leur organisation syndicale.
(AIP)
rkk
Au nombre de la kyrielle de reproches faits par cette organisation syndicale à la première responsable du CROU-B, Mme Brou N’goran, figurent la gestion cavalière des heures supplémentaires, le non reversement des prélèvements CNPS des agents contractuels, la violation du principe de promotion selon les grades et catégories de la fonction publique, les intimidations et menaces systématiques de mutation des fonctionnaires ou de licenciement des agents contractuels.
Il est également reproché à Mme Brou de reformer clandestinement les véhicules du CROU-B à son seul profit, la promotion d’un "maladroit slogan" selon lequel, "point besoin de diplômes ni de grade pour servir au CROU-B", l’octroi à elle-même de sommes faramineuses au titre d’heures supplémentaires pendant qu’elle refuse d’en payer aux agents.
Selon le secrétaire général de la section CROU-B, Sékongo Noël Sévérin, ce climat de peur ou de menace permanente et le favoritisme instauré par la directrice amenuisent la bonne entente, la bonne collaboration et les performances du CROU-B.
En guise de solution, le syndicat propose une panoplie de solutions. A savoir, entre autres, l’arrêt des menaces, intimidations et attaques qui créent un climat de terreur au CROU-BOU, l’élaboration d’une grille de paiement des heures supplémentaires basé sur les grades, les fonctions et au prorata de la subvention, le paiement intégral des cotisations CNPS des agents contractuels et la réintégration de l’agent Irié Bi Gonedré et le paiement de ses droits pour licenciement abusif.
Les agents du CROU-B réclament comme solution ultime le départ de Mme Brou N’goran de la tête du CROU-B en cas de refus de sa part de mettre en application ses propositions de leur organisation syndicale.
(AIP)
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