L’ONG Echos de vie a invité samedi et dimanche, les femmes de M’Bohoin et d’Abrakoi, deux villages situés dans la sous-préfecture d’Alépé, à pratiquer l’agriculture familiale, lors de séances publiques de formation.
Dans les deux localités, le spécialiste des cultures vivrières de l’ANADER, Kahon Antoine, a démontré les retombées positives de l’agriculture familiale.
"En pratiquant l’agriculture familiale, vous éviter la famine dans votre famille mais aussi vous pouvez vendre et gagner suffisamment d’argent pour faire face aux charges familiales et être autonomes", a-t-il dit.
Il a également rassuré les femmes de la rentabilité de ce type d’agriculture car avec l’encadrement de l’ANADER, la production du manioc, de la tomate, de l’aubergine, du piment ou du gombo cultivé hors sol ou en sol reste élevée.
ayn/aaa/kam
Dans les deux localités, le spécialiste des cultures vivrières de l’ANADER, Kahon Antoine, a démontré les retombées positives de l’agriculture familiale.
"En pratiquant l’agriculture familiale, vous éviter la famine dans votre famille mais aussi vous pouvez vendre et gagner suffisamment d’argent pour faire face aux charges familiales et être autonomes", a-t-il dit.
Il a également rassuré les femmes de la rentabilité de ce type d’agriculture car avec l’encadrement de l’ANADER, la production du manioc, de la tomate, de l’aubergine, du piment ou du gombo cultivé hors sol ou en sol reste élevée.
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