Daoukro (Côte d’Ivoire) - Le gouvernement ivoirien a décidé, lundi, d’ouvrir désormais la fonction de Directeur général des Centres hospitaliers universitaires (CHU) à d’autres «compétences» autres que des Professeurs de médecine.
Selon le porte-parole du gouvernement Bruno Nabagné Koné, un «décret portant attribution, organisation et fonctionnement des Centres hospitaliers universitaires (CHU) de Cocody, Treichville, Yopougon et Bouaké a été adopté » lors du Conseil des ministres extraordinaire tenu, lundi, à Daoukro (Centre-Est) sous la présidence du Chef de l’Etat Alassane Ouattara en visite d’Etat dans la région de l’Iffou.
« Les conditions de nomination à la direction des CHU étaient relativement restrictives », a déclaré M. Koné par ailleurs, ministre de la Poste, des technologies de l’information et de la communication, rappelant que « ne pouvaient être nommés à la tête de ces Centres selon le décret de 2001 que des professeurs de médecine ».
« Le présent décret permet d’ouvrir cette fonction à toutes les compétences (…) par exemples aux administrateurs, aux fonctionnaires, aux non fonctionnaires, aux personnes formées à la gestion » a-t-il expliqué en précisant que « ces compétences peuvent êtres aussi des médecins ».
LS/APA
Selon le porte-parole du gouvernement Bruno Nabagné Koné, un «décret portant attribution, organisation et fonctionnement des Centres hospitaliers universitaires (CHU) de Cocody, Treichville, Yopougon et Bouaké a été adopté » lors du Conseil des ministres extraordinaire tenu, lundi, à Daoukro (Centre-Est) sous la présidence du Chef de l’Etat Alassane Ouattara en visite d’Etat dans la région de l’Iffou.
« Les conditions de nomination à la direction des CHU étaient relativement restrictives », a déclaré M. Koné par ailleurs, ministre de la Poste, des technologies de l’information et de la communication, rappelant que « ne pouvaient être nommés à la tête de ces Centres selon le décret de 2001 que des professeurs de médecine ».
« Le présent décret permet d’ouvrir cette fonction à toutes les compétences (…) par exemples aux administrateurs, aux fonctionnaires, aux non fonctionnaires, aux personnes formées à la gestion » a-t-il expliqué en précisant que « ces compétences peuvent êtres aussi des médecins ».
LS/APA