ABIDJAN - Le gouvernement ivoirien a créé un comité de coordination des politiques nationales de lutte contre le blanchiment des capitaux, le financement du terrorisme et la prolifération des armes de destruction massive.
"Le Conseil a adopté un décret portant création, composition, attributions et fonctionnement du Comité de coordination des politiques nationales de lutte contre le blanchiment de capitaux, le financement du terrorisme et la prolifération des armes de destruction massive", indique le communiqué d’un conseil des ministres tenu à Daoukro (centre-est) où est en visite d’Etat depuis dimanche le président Aalassane Ouattara.
Selon le gouvernement ivoirien, ce décret qui organise le " Comité de coordination" vise à "combattre de manière plus efficace le crime organisé".
La criminalité organisé constitue un "danger" pour tous les Etats, "sous ses formes les plus pernicieuses que sont le financement du terrorisme, le blanchiment de capitaux et la prolifération des armes de destruction massive", souligne le gouvernement.
Sous l’impulsion de l’Onu, les pays membres de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) ont mis en place en 2000 le Groupe intergouvernemental d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique de l’Ouest (GIABA).
Cette institution est chargée de mettre en place des dispositifs de lutte contre ces fléaux.
"Le Conseil a adopté un décret portant création, composition, attributions et fonctionnement du Comité de coordination des politiques nationales de lutte contre le blanchiment de capitaux, le financement du terrorisme et la prolifération des armes de destruction massive", indique le communiqué d’un conseil des ministres tenu à Daoukro (centre-est) où est en visite d’Etat depuis dimanche le président Aalassane Ouattara.
Selon le gouvernement ivoirien, ce décret qui organise le " Comité de coordination" vise à "combattre de manière plus efficace le crime organisé".
La criminalité organisé constitue un "danger" pour tous les Etats, "sous ses formes les plus pernicieuses que sont le financement du terrorisme, le blanchiment de capitaux et la prolifération des armes de destruction massive", souligne le gouvernement.
Sous l’impulsion de l’Onu, les pays membres de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) ont mis en place en 2000 le Groupe intergouvernemental d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique de l’Ouest (GIABA).
Cette institution est chargée de mettre en place des dispositifs de lutte contre ces fléaux.