Le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, a estimé mardi qu’il fallait une réponse internationale exceptionnelle face à l’épidémie d’Ebola qui continue de se propager rapidement en Afrique de l’Ouest.
"Il ne s’agit pas seulement d’une crise sanitaire. L’épidémie a des conséquences humanitaires, économiques et sociales graves qui pourraient se propager au-delà des pays touchés", a indiqué M. Ban lors d’une conférence de presse au siège de l’ONU à New York.
"Des contributions généreuses sont annoncées chaque jour mais nous avons beaucoup de choses à faire pour fournir les services sanitaires, la nourriture, l’eau, l’assainissement et les fournitures nécessaires", a-t-il souligné.
"Nous ne pouvons pas laisser les interdictions concernant les voyages et les transports nous ralentir. Nous devons isoler les personnes touchées par Ebola, pas les pays qui se battent pour surmonter l’épidémie", a-t-il ajouté.
L’épidémie d’Ebola continue de se propager en Afrique de l’Ouest avec près de 5.000 personnes infectées et plus de 2.400 morts en Guinée, au Libéria, au Nigéria, au Sénégal et en Sierra Leone, selon des chiffres de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).
"Nous devons être aussi audacieux et courageux que ceux qui se battent sur la ligne de front de la maladie. C’est pourquoi nous nous mobilisons - et c’est pourquoi l’Organisation des Nations Unies sera au centre de l’intervention pour lutter contre l’épidémie. Ebola est une crise exponentielle qui exige une réponse mondiale exceptionnelle", a déclaré le chef de l’ONU.
Le Secrétaire général a rappelé que le Conseil de sécurité tiendrait une réunion d’urgence jeudi sur Ebola, au cours de laquelle la Directrice générale de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le Dr Margaret Chan, et lui-même présenteront le programme d’action internationale pour contenir cette menace.
La semaine prochaine, l’Assemblée générale des Nations Unies tiendra une réunion de haut niveau sur les besoins des populations et des pays touchés par Ebola.
"Il ne s’agit pas seulement d’une crise sanitaire. L’épidémie a des conséquences humanitaires, économiques et sociales graves qui pourraient se propager au-delà des pays touchés", a indiqué M. Ban lors d’une conférence de presse au siège de l’ONU à New York.
"Des contributions généreuses sont annoncées chaque jour mais nous avons beaucoup de choses à faire pour fournir les services sanitaires, la nourriture, l’eau, l’assainissement et les fournitures nécessaires", a-t-il souligné.
"Nous ne pouvons pas laisser les interdictions concernant les voyages et les transports nous ralentir. Nous devons isoler les personnes touchées par Ebola, pas les pays qui se battent pour surmonter l’épidémie", a-t-il ajouté.
L’épidémie d’Ebola continue de se propager en Afrique de l’Ouest avec près de 5.000 personnes infectées et plus de 2.400 morts en Guinée, au Libéria, au Nigéria, au Sénégal et en Sierra Leone, selon des chiffres de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).
"Nous devons être aussi audacieux et courageux que ceux qui se battent sur la ligne de front de la maladie. C’est pourquoi nous nous mobilisons - et c’est pourquoi l’Organisation des Nations Unies sera au centre de l’intervention pour lutter contre l’épidémie. Ebola est une crise exponentielle qui exige une réponse mondiale exceptionnelle", a déclaré le chef de l’ONU.
Le Secrétaire général a rappelé que le Conseil de sécurité tiendrait une réunion d’urgence jeudi sur Ebola, au cours de laquelle la Directrice générale de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le Dr Margaret Chan, et lui-même présenteront le programme d’action internationale pour contenir cette menace.
La semaine prochaine, l’Assemblée générale des Nations Unies tiendra une réunion de haut niveau sur les besoins des populations et des pays touchés par Ebola.