Une série de tueries et d’agressions de personnes à l’arme blanche, ces derniers jours, crée la psychose au sein de la population de Daloa qui pense à la présence de "microbes".
La dernière des victimes, Sipo Yapi François, est surtout attribuée par les autorités locales aux présumés "microbes" qui seraient repliés à l’intérieur du pays après les mesures énergiques prises à leur encontre par les forces de l’ordre à Abidjan.
Il s’agit d’un étudiant de 24 ans à l’université Jean Lorougnon Guédé (UJLOG), tué, selon la police, à l’arme blanche la nuit, aux environs de 22H, au carrefour du bureau de la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE) et de la direction régionale des Eau et Forêts.
Selon cette même source, il est décédé des suites d’un coup de poignard à la poitrine gauche, au terme d’une agression menée par cinq individus armés de machettes et de couteaux, alors qu’il était en compagnie de sa copine.
Avant l’étudiant, d’autres assassinats similaires ont été annoncés dans les quartiers de Lobia et de Gbéliville.
Face à la menace de plus en plus pesante de ces supposés "microbes" qui courent toujours, les autorités de Daloa sont montées au créneau, lors de la troisième session du Conseil municipal, en invitant les populations à la vigilance, surtout éviter de sortir seul à une heure avancée de la nuit.
Mais pour rassurer ses administrés, le maire Samba Coubalily a annoncé que des dispositions sont prises par les forces de l’ordre pour traquer les auteurs de ces assassinats crapuleux qui seraient, comme à Abidjan, "des jeunes gens" qui n’hésitent pas à tuer sur leur passage.
Yy/kp
La dernière des victimes, Sipo Yapi François, est surtout attribuée par les autorités locales aux présumés "microbes" qui seraient repliés à l’intérieur du pays après les mesures énergiques prises à leur encontre par les forces de l’ordre à Abidjan.
Il s’agit d’un étudiant de 24 ans à l’université Jean Lorougnon Guédé (UJLOG), tué, selon la police, à l’arme blanche la nuit, aux environs de 22H, au carrefour du bureau de la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE) et de la direction régionale des Eau et Forêts.
Selon cette même source, il est décédé des suites d’un coup de poignard à la poitrine gauche, au terme d’une agression menée par cinq individus armés de machettes et de couteaux, alors qu’il était en compagnie de sa copine.
Avant l’étudiant, d’autres assassinats similaires ont été annoncés dans les quartiers de Lobia et de Gbéliville.
Face à la menace de plus en plus pesante de ces supposés "microbes" qui courent toujours, les autorités de Daloa sont montées au créneau, lors de la troisième session du Conseil municipal, en invitant les populations à la vigilance, surtout éviter de sortir seul à une heure avancée de la nuit.
Mais pour rassurer ses administrés, le maire Samba Coubalily a annoncé que des dispositions sont prises par les forces de l’ordre pour traquer les auteurs de ces assassinats crapuleux qui seraient, comme à Abidjan, "des jeunes gens" qui n’hésitent pas à tuer sur leur passage.
Yy/kp