Abidjan (Côte d’Ivoire) - Nicolas Sarkozy, l’ancien chef de l’Etat français, a officialisé, vendredi, sur sa page Facebook, son retour en politique, en déclarant sa candidature à la présidence de sa ‘’ famille politique’’, l’Union pour la majorité populaire (UMP) qu’il entend transformer ‘’de fond en comble’’.
‘'C'est au terme d'une réflexion approfondie que j'ai décidé de proposer aux Français un nouveau choix politique.Car, au fond, ce serait une forme d'abandon que de rester spectateur de la situation dans laquelle se trouve la France, devant le délitement du débat politique, et la persistance de divisions si dérisoires au sein de l'opposition'' écrit Nicolas Sarkozy.
L'ex-président français (2007-2012) déclare sa candidature à la présidence de sa ‘'famille politique'', l'UMP, pour, explique-t-il, la transformer de fond en comble, de ‘' façon à créer, dans un délai de trois mois, les conditions d'un nouveau et vaste rassemblement qui s'adressera à tous les Français, sans aucun esprit partisan, dépassant les clivages traditionnels qui ne correspondent plus aujourd'hui à la moindre réalité''.
23e président de la République française du 16 mai 2007 au 15 mai 2012, Nicolas Sarkozy (59 ans) occupe d'abord les fonctions de maire de Neuilly-sur-Seine, député des Hauts-de-Seine, ministre du Budget et porte-parole du gouvernement, ministre de la Communication ou encore de président par intérim du Rassemblement pour la République (RPR).
Dès 2002, il est notamment ministre de l'Intérieur, ministre de l'Économie et des Finances et président du conseil général des Hauts-de-Seine. Il est alors l'un des dirigeants les plus en vue de l'Union pour un mouvement populaire (UMP), dont il devient le président en 2004.
M. Sarkozy remporte l'élection présidentielle de 2007 avec 53,06 % des suffrages exprimés au second tour, face à la candidate socialiste Ségolène Royal. Candidat à saréélection en 2012, il est battu par le candidat socialiste François Hollande, obtenant 48,36 % des votes exprimés au second tour.
Après son départ de la présidence, Nicolas Sarkozy se met en retrait de la vie publique et siège pendant quelques mois au Conseil constitutionnel, dont il est membre de droit et à vie, avant de signer son retour vendredi.
HS/ls/APA
‘'C'est au terme d'une réflexion approfondie que j'ai décidé de proposer aux Français un nouveau choix politique.Car, au fond, ce serait une forme d'abandon que de rester spectateur de la situation dans laquelle se trouve la France, devant le délitement du débat politique, et la persistance de divisions si dérisoires au sein de l'opposition'' écrit Nicolas Sarkozy.
L'ex-président français (2007-2012) déclare sa candidature à la présidence de sa ‘'famille politique'', l'UMP, pour, explique-t-il, la transformer de fond en comble, de ‘' façon à créer, dans un délai de trois mois, les conditions d'un nouveau et vaste rassemblement qui s'adressera à tous les Français, sans aucun esprit partisan, dépassant les clivages traditionnels qui ne correspondent plus aujourd'hui à la moindre réalité''.
23e président de la République française du 16 mai 2007 au 15 mai 2012, Nicolas Sarkozy (59 ans) occupe d'abord les fonctions de maire de Neuilly-sur-Seine, député des Hauts-de-Seine, ministre du Budget et porte-parole du gouvernement, ministre de la Communication ou encore de président par intérim du Rassemblement pour la République (RPR).
Dès 2002, il est notamment ministre de l'Intérieur, ministre de l'Économie et des Finances et président du conseil général des Hauts-de-Seine. Il est alors l'un des dirigeants les plus en vue de l'Union pour un mouvement populaire (UMP), dont il devient le président en 2004.
M. Sarkozy remporte l'élection présidentielle de 2007 avec 53,06 % des suffrages exprimés au second tour, face à la candidate socialiste Ségolène Royal. Candidat à saréélection en 2012, il est battu par le candidat socialiste François Hollande, obtenant 48,36 % des votes exprimés au second tour.
Après son départ de la présidence, Nicolas Sarkozy se met en retrait de la vie publique et siège pendant quelques mois au Conseil constitutionnel, dont il est membre de droit et à vie, avant de signer son retour vendredi.
HS/ls/APA