Bouaké - Le directeur des Opérations de la Banque mondiale, Ousmane Diangana, a échangé avec les populations, autorités et opérateurs économiques de Bouaké, en vue de prendre en compte leurs aspirations dans la nouvelle stratégie de partenariat avec la Côte d’Ivoire.
Le directeur des Opérations a indiqué, mardi, que cette mission a été initiée en tenant compte des expériences de la stratégie précédente qui a été mise en œuvre dans la sortie de crise.
Elle se justifie également par "les opportunités réelles qui existent aujourd’hui en Côte d’Ivoire avec le retour de la stabilité."
"Ça nous parait tellement important pour informer sur une stratégie qui se veut pertinente et pragmatique", a déclaré M. Diangana qui estime qu’une "stratégie de développement ne peut pas se préparer dans les bureaux."
Il a partagé avec l’audience, l’analyse de la Banque mondiale des défis de développement de la Côte d’Ivoire et les voies et moyens pour les relever.
Le directeur des Opérations de la Banque mondiale se dit très satisfait des échanges, parce qu’ils lui ont permis de noter que la région est très riche, avec "un potentiel extraordinaire dans le domaine de l’agriculture".
La ville de Bouaké a toutefois besoin "d’un accompagnement fort" de la part des partenaires au développement pour sa renaissance, a-t-il souligné.
Les participants ont fait plusieurs recommandations, entre autres, celui du président du Conseil régional de Bouaké, Jean Kouassi Abonoua, qui a demandé la mise en place des mécanismes pour un contrôle plus strict des actions de la Banque mondiale sur le terrain et l’initiative d’un "contrat de performance" entre l’institution financière internationale, l’Etat et les collectivités décentralisées.
Pour la nouvelle stratégie, la Banque mondiale a prévu, dans le cadre de son appui direct à l’Etat ivoirien, une enveloppe de plus de 750 millions de dollars américains (environ près de 450 milliards de FCFA) pour les trois années à venir.
Nbf/kp
Le directeur des Opérations a indiqué, mardi, que cette mission a été initiée en tenant compte des expériences de la stratégie précédente qui a été mise en œuvre dans la sortie de crise.
Elle se justifie également par "les opportunités réelles qui existent aujourd’hui en Côte d’Ivoire avec le retour de la stabilité."
"Ça nous parait tellement important pour informer sur une stratégie qui se veut pertinente et pragmatique", a déclaré M. Diangana qui estime qu’une "stratégie de développement ne peut pas se préparer dans les bureaux."
Il a partagé avec l’audience, l’analyse de la Banque mondiale des défis de développement de la Côte d’Ivoire et les voies et moyens pour les relever.
Le directeur des Opérations de la Banque mondiale se dit très satisfait des échanges, parce qu’ils lui ont permis de noter que la région est très riche, avec "un potentiel extraordinaire dans le domaine de l’agriculture".
La ville de Bouaké a toutefois besoin "d’un accompagnement fort" de la part des partenaires au développement pour sa renaissance, a-t-il souligné.
Les participants ont fait plusieurs recommandations, entre autres, celui du président du Conseil régional de Bouaké, Jean Kouassi Abonoua, qui a demandé la mise en place des mécanismes pour un contrôle plus strict des actions de la Banque mondiale sur le terrain et l’initiative d’un "contrat de performance" entre l’institution financière internationale, l’Etat et les collectivités décentralisées.
Pour la nouvelle stratégie, la Banque mondiale a prévu, dans le cadre de son appui direct à l’Etat ivoirien, une enveloppe de plus de 750 millions de dollars américains (environ près de 450 milliards de FCFA) pour les trois années à venir.
Nbf/kp