Au total 10 pays "à risques" en Afrique prennent part à Abidjan à un atelier régional de deux jours pour harmoniser et renforcer leurs plans nationaux de préparation et de riposte face à la maladie à virus Ebola qui sévit dans la sous-région ouest africaine.
L'atelier, initié par l'ambassade des Etats-Unis en Côte d'Ivoire, a été ouvert lundi et est animé par des experts du Centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC) de l'agence internationale américaine pour le développement USAID.
Il vise à "renforcer les plans de préparation, favoriser le dialogue de santé publique sur la préparation des pays et la collaboration pour faire face à cette crise régionale et éviter une propagation à plus grande échelle".
"Une approche régionale forte est cruciale pour contenir l'épidémie parce que les maladies n'ont pas de frontières politiques", a déclaré à l'ouverture des travaux, l'ambassadeur des Etats-Unis, Terence McCulley.
"Le gouvernement ivoirien a pris de nombreuses mesures pour faire face à une épidémie d'Ebola mais cet atelier permettra une meilleure collaboration avec les agences gouvernementales d'autres pays de la région de sorte à ce que le partage de connaissance, d'expériences, et la collaboration puise permettre de contrôler l'épidémie", a-t-il ajouté.
Le directeur de l'Institut national d'hygiène publique (INHP), Simplice Dégnan, représentant le ministre ivoirien de la Santé, a également indiqué que l'atelier va permettre d'"unir les efforts et les actions pour donner une réponse sous-régionale à ce fléau à travers l'harmonisation des plans nations d'action et de lutte".
"La lutte contre Ebola ne peut plus être l'affaire d'un pays vu le niveau de propagation et de victimes occasionnées", a souligné M. Degnan.
Le dernier bilan de l'OMS indique que l'épidémie en cours en Guinée, au Liberia, en Sierra Leone et au Nigeria a fait plus de 2. 600 morts sur 5.500 personnes contaminées.
La protection sanitaire du personnel médical, les techniques d'isolation et de mise en quarantaine, la prévention et le contrôle des infections, l'identification des contacts, le dépistage et le suivi ainsi que la communication et la mobilisation sociale figure parmi les sujets qui sont abordés par l'atelier.
Des représentants de la Côte d'Ivoire, du Burkina Faso du Bénin, du Togo, du Niger, du Mali, de la Guinée-Bissau, de la Mauritanie auxquels se sont joints des représentants du Cameroun et du Tchad participent à l'atelier.
L'atelier, initié par l'ambassade des Etats-Unis en Côte d'Ivoire, a été ouvert lundi et est animé par des experts du Centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC) de l'agence internationale américaine pour le développement USAID.
Il vise à "renforcer les plans de préparation, favoriser le dialogue de santé publique sur la préparation des pays et la collaboration pour faire face à cette crise régionale et éviter une propagation à plus grande échelle".
"Une approche régionale forte est cruciale pour contenir l'épidémie parce que les maladies n'ont pas de frontières politiques", a déclaré à l'ouverture des travaux, l'ambassadeur des Etats-Unis, Terence McCulley.
"Le gouvernement ivoirien a pris de nombreuses mesures pour faire face à une épidémie d'Ebola mais cet atelier permettra une meilleure collaboration avec les agences gouvernementales d'autres pays de la région de sorte à ce que le partage de connaissance, d'expériences, et la collaboration puise permettre de contrôler l'épidémie", a-t-il ajouté.
Le directeur de l'Institut national d'hygiène publique (INHP), Simplice Dégnan, représentant le ministre ivoirien de la Santé, a également indiqué que l'atelier va permettre d'"unir les efforts et les actions pour donner une réponse sous-régionale à ce fléau à travers l'harmonisation des plans nations d'action et de lutte".
"La lutte contre Ebola ne peut plus être l'affaire d'un pays vu le niveau de propagation et de victimes occasionnées", a souligné M. Degnan.
Le dernier bilan de l'OMS indique que l'épidémie en cours en Guinée, au Liberia, en Sierra Leone et au Nigeria a fait plus de 2. 600 morts sur 5.500 personnes contaminées.
La protection sanitaire du personnel médical, les techniques d'isolation et de mise en quarantaine, la prévention et le contrôle des infections, l'identification des contacts, le dépistage et le suivi ainsi que la communication et la mobilisation sociale figure parmi les sujets qui sont abordés par l'atelier.
Des représentants de la Côte d'Ivoire, du Burkina Faso du Bénin, du Togo, du Niger, du Mali, de la Guinée-Bissau, de la Mauritanie auxquels se sont joints des représentants du Cameroun et du Tchad participent à l'atelier.