Abidjan – L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a appelé mardi à Genève, à une réaction rapide pour freiner la propagation exponentielle de la maladie à virus Ebola qui sévit dans des pays ouest-africains.
« Si les mesures de lutte contre la maladie à virus Ebola en Afrique de l’Ouest ne sont pas rapidement renforcées, le nombre de cas d’infection continuera à augmenter de façon exponentielle et que plus de 20.000 personnes risqueraient d’être infectées d’ici début novembre », a prévenu l’agence onusienne, citée dans un communiqué de presse.
Selon le texte, des experts de l’OMS et de l’Imperial College de Londres se penchent sur des données dont les plus anciennes concernent le début de la flambée en décembre 2013 afin de déterminer l’ampleur de l’épidémie, de mieux comprendre la propagation de la maladie et de définir ce qu’il faut faire pour inverser la tendance.
« Cette étude nous a donné des informations précieuses sur les mécanismes de cette flambée. Par exemple, nous avons appris qu’il n’y a pas de différence fondamentale entre les pays en ce qui concerne le nombre total de patients masculins et de patients féminins », a indiqué le Dr Christopher Dye, directeur chargé de la Stratégie à l’OMS.
(AIP)
cmas
« Si les mesures de lutte contre la maladie à virus Ebola en Afrique de l’Ouest ne sont pas rapidement renforcées, le nombre de cas d’infection continuera à augmenter de façon exponentielle et que plus de 20.000 personnes risqueraient d’être infectées d’ici début novembre », a prévenu l’agence onusienne, citée dans un communiqué de presse.
Selon le texte, des experts de l’OMS et de l’Imperial College de Londres se penchent sur des données dont les plus anciennes concernent le début de la flambée en décembre 2013 afin de déterminer l’ampleur de l’épidémie, de mieux comprendre la propagation de la maladie et de définir ce qu’il faut faire pour inverser la tendance.
« Cette étude nous a donné des informations précieuses sur les mécanismes de cette flambée. Par exemple, nous avons appris qu’il n’y a pas de différence fondamentale entre les pays en ce qui concerne le nombre total de patients masculins et de patients féminins », a indiqué le Dr Christopher Dye, directeur chargé de la Stratégie à l’OMS.
(AIP)
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