San Pedro– Le préfet de région de San Pedro, Ousmane Coulibaly, a décidé de fermer pendant deux jours la plage de la ville, à l’occasion de la célébration de la fête de la Tabaski, afin d’éviter les récurrents accidents mortels dus à des débordements de jeunes qui prennent de plus en plus ce prétexte des fêtes pour se déporter à la plage et se livrer à des jeux dangereux.
"Il n’y aura pas de finale, de demi-finale ni de quart de finale. La plage est interdite aujourd’hui et demain. Dites-cela à vos enfants", a déclaré samedi le secrétaire général de la préfecture, N’Dri Kouassi Justin, à la fin de la prière publique organisée à l’espace "Terre rouge" du quartier Bardot.
Le secrétaire général a expliqué que depuis quelques temps, "l’on a constaté assez régulièrement qu’à la fin de chaque fête, le Ramadan ou la Tabaski, des familles sont endeuillées parce qu’il semble que la jeunesse va faire une finale quelque part à la plage."
Il s’agit souvent, a-t-il précisé, de jeunes à moto qui vont à la plage se livrer à des compétitions de vitesse en bordure de plage avec souvent des cas de noyades enregistrés.
Selon N’Dri Kouassi Justin, l’on ne peut fêter et se retrouver le soir en train de pleurer, parce que l’un des siens a cru bon d’aller à la plage prolonger dangereusement sa fête par des actes insensés.
Jmk/kp
"Il n’y aura pas de finale, de demi-finale ni de quart de finale. La plage est interdite aujourd’hui et demain. Dites-cela à vos enfants", a déclaré samedi le secrétaire général de la préfecture, N’Dri Kouassi Justin, à la fin de la prière publique organisée à l’espace "Terre rouge" du quartier Bardot.
Le secrétaire général a expliqué que depuis quelques temps, "l’on a constaté assez régulièrement qu’à la fin de chaque fête, le Ramadan ou la Tabaski, des familles sont endeuillées parce qu’il semble que la jeunesse va faire une finale quelque part à la plage."
Il s’agit souvent, a-t-il précisé, de jeunes à moto qui vont à la plage se livrer à des compétitions de vitesse en bordure de plage avec souvent des cas de noyades enregistrés.
Selon N’Dri Kouassi Justin, l’on ne peut fêter et se retrouver le soir en train de pleurer, parce que l’un des siens a cru bon d’aller à la plage prolonger dangereusement sa fête par des actes insensés.
Jmk/kp
