Abidjan – Un bâtiment de la Direction départementale des affaires sanitaires et sociales (DDASS) de Cergy-Pontoise (Val-d’Oise) a été bouclé durant quelques heures, jeudi après-midi, après le malaise d’un homme présentant des symptômes ressemblant à ceux provoqués par le virus Ebola.
La préfecture du Val-d’Oise a levé vers 19h30 (GMT+2), la suspicion de cas d’Ebola dans le bâtiment, après un confinement qui n’a duré quelques heures.
Celui-ci avait été bouclé vers 16 heures, à la suite du malaise d’un jeune Africain, arrivé en France le 1er octobre après être passé par la Guinée. Il était accompagné de trois autres personnes, elles aussi Africaines, dont l’une au moins présentait également des symptômes grippaux faisant penser au virus Ebola.
Selon le conseil général du Val-d’Oise, ces quatre mineurs étrangers étaient venus en fin d’après-midi pour un suivi auprès des services sociaux. Dès les premiers symptômes, ils ont été isolés, en compagnie de sept autres personnes qui avaient été contact avec eux, des personnels de l’accueil et des pompiers intervenus sur place.
Les examens médicaux ont permis de lever le doute. L’équipe du Service d’aide médicale urgente (SAMU) qui s’est rendue sur place était équipée pour les prendre en charge.
(AIP)
cmas
La préfecture du Val-d’Oise a levé vers 19h30 (GMT+2), la suspicion de cas d’Ebola dans le bâtiment, après un confinement qui n’a duré quelques heures.
Celui-ci avait été bouclé vers 16 heures, à la suite du malaise d’un jeune Africain, arrivé en France le 1er octobre après être passé par la Guinée. Il était accompagné de trois autres personnes, elles aussi Africaines, dont l’une au moins présentait également des symptômes grippaux faisant penser au virus Ebola.
Selon le conseil général du Val-d’Oise, ces quatre mineurs étrangers étaient venus en fin d’après-midi pour un suivi auprès des services sociaux. Dès les premiers symptômes, ils ont été isolés, en compagnie de sept autres personnes qui avaient été contact avec eux, des personnels de l’accueil et des pompiers intervenus sur place.
Les examens médicaux ont permis de lever le doute. L’équipe du Service d’aide médicale urgente (SAMU) qui s’est rendue sur place était équipée pour les prendre en charge.
(AIP)
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