Abidjan - L'entreprise Oracle Corporation a annoncé, jeudi, le lancement d’une initiative destinée à renforcer et étendre les compétences des professionnels de l’informatique en Afrique, apprend-on d’un communiqué de l’Organisation de la presse africaine (APO).
Ce programme comportant quatre volets a été conçu pour répondre à l’adoption rapide de nouvelles technologies par les entreprises et gouvernements africains, laquelle a eu pour effet d'accentuer encore davantage la pénurie de professionnels ayant les compétences nécessaires pour utiliser au mieux les systèmes mis en place.
Selon Oracle, les formidables progrès de la technologie intervenus au cours des cinq dernières années ont généré un déficit de compétences en matière de technologie de l’information (TI). D’un bout à l’autre de l’Afrique, des organisations adoptent de nouvelles technologies à un rythme qui devance largement la disponibilité de main-d’œuvre qualifiée appropriée.
« À l’heure actuelle, les technologies de l’information promettent de favoriser l’inclusion sociale, de lutter contre la corruption, de développer l’économie numérique tout en créant des liens plus forts entre les citoyens et leurs gouvernements, les entreprises et leurs clients, ainsi qu’entre les ONG et les communautés qu’elles servent », a déclaré Alfonso Di Ianni, premier vice-président d’Oracle pour la région Europe centrale et orientale, Moyen-Orient et Afrique.
D’après lui, ces technologies peuvent atteindre tous ces objectifs tout en réduisant considérablement les coûts et en améliorant l’efficacité. « Cependant, pour que la technologie appuie une telle évolution, il est indispensable que les organisations aient facilement accès à une main-d’œuvre capable de mettre en place ces systèmes et d'en assurer l'entretien », a-t-il ajouté.
L’initiative d’Oracle est articulée autour de quatre axes prioritaires, à savoir les aptitudes des employés, la compatibilité des infrastructures informatiques, la disponibilité de main-d’œuvre et le développement des compétences des jeunes. Elle s’adresse aussi bien aux gouvernements qu’au secteur privé et aux organisations à but non lucratif, afin de mettre en place une stratégie à long terme en matière de compétences à même de répondre à la demande de compétences adéquates en TI.
cmas
Ce programme comportant quatre volets a été conçu pour répondre à l’adoption rapide de nouvelles technologies par les entreprises et gouvernements africains, laquelle a eu pour effet d'accentuer encore davantage la pénurie de professionnels ayant les compétences nécessaires pour utiliser au mieux les systèmes mis en place.
Selon Oracle, les formidables progrès de la technologie intervenus au cours des cinq dernières années ont généré un déficit de compétences en matière de technologie de l’information (TI). D’un bout à l’autre de l’Afrique, des organisations adoptent de nouvelles technologies à un rythme qui devance largement la disponibilité de main-d’œuvre qualifiée appropriée.
« À l’heure actuelle, les technologies de l’information promettent de favoriser l’inclusion sociale, de lutter contre la corruption, de développer l’économie numérique tout en créant des liens plus forts entre les citoyens et leurs gouvernements, les entreprises et leurs clients, ainsi qu’entre les ONG et les communautés qu’elles servent », a déclaré Alfonso Di Ianni, premier vice-président d’Oracle pour la région Europe centrale et orientale, Moyen-Orient et Afrique.
D’après lui, ces technologies peuvent atteindre tous ces objectifs tout en réduisant considérablement les coûts et en améliorant l’efficacité. « Cependant, pour que la technologie appuie une telle évolution, il est indispensable que les organisations aient facilement accès à une main-d’œuvre capable de mettre en place ces systèmes et d'en assurer l'entretien », a-t-il ajouté.
L’initiative d’Oracle est articulée autour de quatre axes prioritaires, à savoir les aptitudes des employés, la compatibilité des infrastructures informatiques, la disponibilité de main-d’œuvre et le développement des compétences des jeunes. Elle s’adresse aussi bien aux gouvernements qu’au secteur privé et aux organisations à but non lucratif, afin de mettre en place une stratégie à long terme en matière de compétences à même de répondre à la demande de compétences adéquates en TI.
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