Les présidents sénégalais Macky Sall et ivoirien Alassane Ouattara prendront part ce lundi après-midi à Marrakech (Maroc) à l’ouverture officielle du 9ème Forum africain pour le développement (ADF).
Des personnalités de haut niveau sont également attendues à cette rencontre qui se tient pour la première fois en dehors d’Addis-Abeba, en Éthiopie, où se trouve le siège de la CEA.
Placé sous le thème « les modes de financement innovants pour la transformation de l’Afrique », ce forum offrira aux participants une occasion idéale pour débattre des mécanismes de financement novateurs dans les cinq domaines que sont la mobilisation des ressources nationales, les flux financiers illicites, le capital investissement, les nouveaux types de partenariat et le financement de la lutte contre les changements climatiques.
La rencontre vise essentiellement à renforcer la capacité du continent à rechercher des mécanismes de financement novateurs come une alternative réelle pour financer le développement qui transformera l’Afrique.
Le forum va ainsi tenter d’établira le lien entre la mobilisation des ressources et la réduction des barrières commerciales, économiques institutionnelles
Selon des données officielles, publiées dans le cadre du forum, les recettes fiscales intérieures mobilisées sur le continent, aujourd’hui, atteignent plus de 520 milliards de dollars (chiffres de 2011), par rapport aux 50 milliards de dollars reçus en aide.
De plus, les banques centrales et réserves africaines détiennent plus de 400 milliards de dollars de réserves internationales et les actifs des fonds de pension de l’Afrique se développent à un rythme effréné.
La Banque mondiale estime que les envois de fonds de la diaspora africaine ont atteint 40 milliards de dollars en 2012 et pourraient croître à 200 milliards de dollars au cours de la prochaine décennie. À cela s’ajoute ce que le continent pourrait récupérer avec les pertes subies par les flux financiers illicites.
HA/APA
Des personnalités de haut niveau sont également attendues à cette rencontre qui se tient pour la première fois en dehors d’Addis-Abeba, en Éthiopie, où se trouve le siège de la CEA.
Placé sous le thème « les modes de financement innovants pour la transformation de l’Afrique », ce forum offrira aux participants une occasion idéale pour débattre des mécanismes de financement novateurs dans les cinq domaines que sont la mobilisation des ressources nationales, les flux financiers illicites, le capital investissement, les nouveaux types de partenariat et le financement de la lutte contre les changements climatiques.
La rencontre vise essentiellement à renforcer la capacité du continent à rechercher des mécanismes de financement novateurs come une alternative réelle pour financer le développement qui transformera l’Afrique.
Le forum va ainsi tenter d’établira le lien entre la mobilisation des ressources et la réduction des barrières commerciales, économiques institutionnelles
Selon des données officielles, publiées dans le cadre du forum, les recettes fiscales intérieures mobilisées sur le continent, aujourd’hui, atteignent plus de 520 milliards de dollars (chiffres de 2011), par rapport aux 50 milliards de dollars reçus en aide.
De plus, les banques centrales et réserves africaines détiennent plus de 400 milliards de dollars de réserves internationales et les actifs des fonds de pension de l’Afrique se développent à un rythme effréné.
La Banque mondiale estime que les envois de fonds de la diaspora africaine ont atteint 40 milliards de dollars en 2012 et pourraient croître à 200 milliards de dollars au cours de la prochaine décennie. À cela s’ajoute ce que le continent pourrait récupérer avec les pertes subies par les flux financiers illicites.
HA/APA