Agboville - Le conseiller technique de la directrice générale du Conseil café-cacao s’est félicité, mercredi à Agboville, des réformes intervenues dans la filière depuis 2012 et qui ont considérablement réduit les interpellations et arrestations judiciaires parmi les acteurs de la filière.
Silué Bollobo a justifié la réduction drastique des emprisonnements et ennuis judiciaires des acteurs de la filière par la suppression de la fluctuation des prix d’achat bord champ proposés aux producteurs.
Il a indiqué que l’option de la fixation du prix du kilogramme de cacao, sur la base de la fluctuation du prix du marché international, provoquait des plaintes des producteurs devant les tribunaux à l’encontre des responsables des coopératives souvent mis, eux aussi, devant le fait accompli de la variation des cours.
Selon lui, dès lors que le responsable prend des engagements envers des producteurs, sur la base d’un prix planché et que les cours mondiaux du cacao chutent, toutes les prévisions étaient revues à la baisse, entrainant des "désaccords et accusations de détournement" des acheteurs et pisteurs.
"Les incarcérations n’étaient pas forcément le fait de mauvaises gestions", a indiqué le chef de la délégation du Conseil café-cacao.
Il a expliqué qu’avec le prix minimum garanti du kilogramme de cacao bien fermenté et bien séché au producteur, sur la base d’au moins 60 % du prix CAF accordé aux producteurs, éloigne les spectres des interpellations et conflits judiciaires.
Depuis la décision, en 2012, de la réforme dans la filière café-cacao, un prix du kg de cacao et de café n’a jamais connu de baisse durant les campagnes agricoles.
Le prix du kg de cacao durant la campagne 2014-2015 correspond à 60,25 % du prix CAF, affirme-t-on.
Dd/kp
Silué Bollobo a justifié la réduction drastique des emprisonnements et ennuis judiciaires des acteurs de la filière par la suppression de la fluctuation des prix d’achat bord champ proposés aux producteurs.
Il a indiqué que l’option de la fixation du prix du kilogramme de cacao, sur la base de la fluctuation du prix du marché international, provoquait des plaintes des producteurs devant les tribunaux à l’encontre des responsables des coopératives souvent mis, eux aussi, devant le fait accompli de la variation des cours.
Selon lui, dès lors que le responsable prend des engagements envers des producteurs, sur la base d’un prix planché et que les cours mondiaux du cacao chutent, toutes les prévisions étaient revues à la baisse, entrainant des "désaccords et accusations de détournement" des acheteurs et pisteurs.
"Les incarcérations n’étaient pas forcément le fait de mauvaises gestions", a indiqué le chef de la délégation du Conseil café-cacao.
Il a expliqué qu’avec le prix minimum garanti du kilogramme de cacao bien fermenté et bien séché au producteur, sur la base d’au moins 60 % du prix CAF accordé aux producteurs, éloigne les spectres des interpellations et conflits judiciaires.
Depuis la décision, en 2012, de la réforme dans la filière café-cacao, un prix du kg de cacao et de café n’a jamais connu de baisse durant les campagnes agricoles.
Le prix du kg de cacao durant la campagne 2014-2015 correspond à 60,25 % du prix CAF, affirme-t-on.
Dd/kp
