Le Fonds Monétaire International (FMI) a appelé lundi les bailleurs de fonds à accorder des prêts aux pays touchés par le virus Ebola afin d'éviter le déclin de leurs économies.
"Dans les pays actuellement touchés par l'épidémie d'Ebola, les comptes fiscaux sont sous pression", a déclaré Antoinette Sayeh, directrice du département africain du FMI.
Elle a expliqué que l'épidémie d'Ebola avait un impact économique considérable et que les retombées économiques commençaient à se faire sentir dans certains pays voisins.
Présentant le rapport sur les perspectives économiques régionales du FMI 2014 pour l'Afrique sub-saharienne à Dar es Salaam, capitale commerciale de la Tanzanie, Mme Sayeh a déclaré que les pays touchés devraient être soutenus en obtenant des prêts pour leur permettre d'effectuer des dépenses plus élevées liées à Ebola.
"Les prêts devraient également aider à éviter une dégringolade encore plus prononcée de l'activité économique", a-t-elle poursuivi.
Mme Sayeh a expliqué que si les prêts ne sont pas immédiatement disponibles, et si les niveaux de la dette publique étaient gérables, les dettes fiscales devraient être autorisées à augmenter selon la disponibilité des financements.
"Si l'épidémie d'Ebola se prolonge ou se propage à d'autres pays, elle aura des conséquences graves sur les pays touchés et d'importantes retombées", a-t-elle poursuivi.
Mais Mme Sayeh a déclaré également que l'économie de l'Afrique sub-saharienne devrait continuer à augmenter rapidement, avec une croissance d'environ 5% en 2014, le même niveau qu'en 2013, et à accélérer par la suite.
"Dans les pays actuellement touchés par l'épidémie d'Ebola, les comptes fiscaux sont sous pression", a déclaré Antoinette Sayeh, directrice du département africain du FMI.
Elle a expliqué que l'épidémie d'Ebola avait un impact économique considérable et que les retombées économiques commençaient à se faire sentir dans certains pays voisins.
Présentant le rapport sur les perspectives économiques régionales du FMI 2014 pour l'Afrique sub-saharienne à Dar es Salaam, capitale commerciale de la Tanzanie, Mme Sayeh a déclaré que les pays touchés devraient être soutenus en obtenant des prêts pour leur permettre d'effectuer des dépenses plus élevées liées à Ebola.
"Les prêts devraient également aider à éviter une dégringolade encore plus prononcée de l'activité économique", a-t-elle poursuivi.
Mme Sayeh a expliqué que si les prêts ne sont pas immédiatement disponibles, et si les niveaux de la dette publique étaient gérables, les dettes fiscales devraient être autorisées à augmenter selon la disponibilité des financements.
"Si l'épidémie d'Ebola se prolonge ou se propage à d'autres pays, elle aura des conséquences graves sur les pays touchés et d'importantes retombées", a-t-elle poursuivi.
Mais Mme Sayeh a déclaré également que l'économie de l'Afrique sub-saharienne devrait continuer à augmenter rapidement, avec une croissance d'environ 5% en 2014, le même niveau qu'en 2013, et à accélérer par la suite.