Un premier cas de maladie à virus Ebola a été enregistré jeudi à Kayes, ville dans l'ouest du Mali, annonce le ministère malien de la Santé.
Selon un communiqué du ministère de la Santé, le malade suspect, une fillette de 2 ans venue de la ville guinéenne de Kissidougou, admis ce mercredi à l'Hôpital Fousseyni Daou de Kayes, s'est avéré positif après analyse de son prélèvement sanguin.
L'enfant malade et les personnes qui ont eu un contact avec elle à Kayes ont été immédiatement identifiés et pris en charge selon les normes requises en la matière, précise le communiqué.
Le ministère malien de la Santé, qui a pris toutes les dispositions nécessaires pour éviter la propagation du virus, rassure les populations sur les mesures prises et en appelle au calme et à la sérénité, selon le communiqué.
L'état de santé du sujet infecté s'améliore considérablement, grâce à une diligente prise en charge, ajoute le texte.
Le ministère conseille aux populations d'éviter les déplacements non nécessaires vers les zones d'épidémie et de respecter les mesures d'hygiènes et de sécurités édictées en la matière.
Le Mali n'a pas fermé ses frontières, notamment avec la Guinée voisine, un des pays le plus touché par le virus Ebola, estimant qu'une telle mesure n'est pas prévue dans le règlement sanitaire de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
La non-fermeture des frontières s'explique aussi par "la mise en place d'un mécanisme qui permet de prévenir la menace aux frontières, comme c'est le cas notamment à l'aéroport de Bamako Senou. Ainsi, tout passager qui entre au Mali est contrôlé à travers un dispositif de caméra thermique qui permet d'évaluer sa température afin de savoir s'il est atteint de fièvre", affirmaient les autorités maliennes.
Le Mali a élaboré un plan national de contingence ayant pour objectif d'empêcher la survenue de l'épidémie de fièvre hémorragique à virus Ebola.
Récemment, des tests d'un vaccin expérimental sur les êtres humains ont été effectués au Mali par une équipe de scientifiques américains et maliens, pour tenter de lutter contre l'infection par le virus Ebola.
Selon un communiqué du ministère de la Santé, le malade suspect, une fillette de 2 ans venue de la ville guinéenne de Kissidougou, admis ce mercredi à l'Hôpital Fousseyni Daou de Kayes, s'est avéré positif après analyse de son prélèvement sanguin.
L'enfant malade et les personnes qui ont eu un contact avec elle à Kayes ont été immédiatement identifiés et pris en charge selon les normes requises en la matière, précise le communiqué.
Le ministère malien de la Santé, qui a pris toutes les dispositions nécessaires pour éviter la propagation du virus, rassure les populations sur les mesures prises et en appelle au calme et à la sérénité, selon le communiqué.
L'état de santé du sujet infecté s'améliore considérablement, grâce à une diligente prise en charge, ajoute le texte.
Le ministère conseille aux populations d'éviter les déplacements non nécessaires vers les zones d'épidémie et de respecter les mesures d'hygiènes et de sécurités édictées en la matière.
Le Mali n'a pas fermé ses frontières, notamment avec la Guinée voisine, un des pays le plus touché par le virus Ebola, estimant qu'une telle mesure n'est pas prévue dans le règlement sanitaire de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
La non-fermeture des frontières s'explique aussi par "la mise en place d'un mécanisme qui permet de prévenir la menace aux frontières, comme c'est le cas notamment à l'aéroport de Bamako Senou. Ainsi, tout passager qui entre au Mali est contrôlé à travers un dispositif de caméra thermique qui permet d'évaluer sa température afin de savoir s'il est atteint de fièvre", affirmaient les autorités maliennes.
Le Mali a élaboré un plan national de contingence ayant pour objectif d'empêcher la survenue de l'épidémie de fièvre hémorragique à virus Ebola.
Récemment, des tests d'un vaccin expérimental sur les êtres humains ont été effectués au Mali par une équipe de scientifiques américains et maliens, pour tenter de lutter contre l'infection par le virus Ebola.