Abidjan – La candidate de la Côte d’Ivoire au poste de directeur régional de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Pr Thérèse N’Dri Yoman, bénéficie d’un appui plus renforcé de son pays qui appelle les Ivoiriens et tous les habitants du territoire à soutenir cette candidature soit par des prières pour les fidèles des différentes religions, soit à invoquer les mânes des ancêtres pour les adeptes des croyances traditionnelles.
Dans une déclaration lue vendredi pour le compte du gouvernement ivoirien, la ministre de la Santé et de la Lutte contre le Sida, Dr Raymonde Goudou-Coffie, a souligné que le Président de la République, Alassane Ouattara, a lui-même porté à bout de bras cette candidature entérinée le 06 juin en Conseil des ministres.
Elle a noté la faiblesse de la représentativité de la Côte d’Ivoire au niveau international, malgré le nombre et la qualité de ses ressources humaines. « La candidature du Prof. Thérèse N’Dri-Yoman se présente comme une opportunité, lorsqu’on se réfère à l’expérience de la candidate dans plusieurs domaines, qui vont de la santé publique à la vie associative », a expliqué la première responsable de la santé en Côte d’Ivoire.
Prof. N’Dri-Yoman est titulaire d’un Doctorat d’Etat en Médecine et d’une Agrégation en hépato-gastro-entérologie. Enseignante-chercheur, elle a eu une riche carrière professionnelle, occupant successivement les fonctions de doyen de l’UFR des Sciences médicales de l’Université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan, de directeur général de la Santé, puis de ministre de la Santé et de la Lutte contre le Sida.
Actuellement conseiller spécial auprès du Président de la République chargé de la Santé, Prof. Thérèse N’Dri-Yoman « présente les aptitudes indispensables et nécessaires pour une bonne gestion de la politique de santé au niveau de la sous-région », estime son successeur au département de la Santé.
Insistant sur les capacités de management, de leadership ainsi que l’intérêt et la détermination de Prof. N’Dri-Yoman pour œuvrer à une meilleure santé des populations, la ministre de la Santé a souligné l’importance des défis et les nouveaux challenges à relever dans le secteur par l’Afrique.
« (…) Le projet de gouvernance proposé par la candidate (ivoirienne) est suffisamment attractif et pertinent pour recueillir l’adhésion des ministres de la Santé des 47 pays appelés à voter lors de la 64ème session du Comité régional de l’OMS, du 03 au 07 novembre à Cotonou, au Bénin », selon Dr Goudou-Coffie.
Celle-ci assure qu’en sa qualité de ministre de la Santé de la Côte d’Ivoire, elle conduira une forte délégation comprenant, entre autres, le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, Charles Diby Koffi, et son collègue de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’extérieur, Ally Coulibaly, ainsi que toute la délégation de la campagne de la candidate.
En réponse à cette marque d’attention de la part du gouvernement, Prof. N’Dri-Yoman a remercié sa « petite sœur » pour cette opportunité de relancer la candidature ivoirienne après le report de la session initialement prévue pour début septembre. La candidate l’a chargée d’exprimer sa gratitude au Président Alassane Ouattara, pour toutes les actions en soutien à ce challenge.
cmas
Dans une déclaration lue vendredi pour le compte du gouvernement ivoirien, la ministre de la Santé et de la Lutte contre le Sida, Dr Raymonde Goudou-Coffie, a souligné que le Président de la République, Alassane Ouattara, a lui-même porté à bout de bras cette candidature entérinée le 06 juin en Conseil des ministres.
Elle a noté la faiblesse de la représentativité de la Côte d’Ivoire au niveau international, malgré le nombre et la qualité de ses ressources humaines. « La candidature du Prof. Thérèse N’Dri-Yoman se présente comme une opportunité, lorsqu’on se réfère à l’expérience de la candidate dans plusieurs domaines, qui vont de la santé publique à la vie associative », a expliqué la première responsable de la santé en Côte d’Ivoire.
Prof. N’Dri-Yoman est titulaire d’un Doctorat d’Etat en Médecine et d’une Agrégation en hépato-gastro-entérologie. Enseignante-chercheur, elle a eu une riche carrière professionnelle, occupant successivement les fonctions de doyen de l’UFR des Sciences médicales de l’Université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan, de directeur général de la Santé, puis de ministre de la Santé et de la Lutte contre le Sida.
Actuellement conseiller spécial auprès du Président de la République chargé de la Santé, Prof. Thérèse N’Dri-Yoman « présente les aptitudes indispensables et nécessaires pour une bonne gestion de la politique de santé au niveau de la sous-région », estime son successeur au département de la Santé.
Insistant sur les capacités de management, de leadership ainsi que l’intérêt et la détermination de Prof. N’Dri-Yoman pour œuvrer à une meilleure santé des populations, la ministre de la Santé a souligné l’importance des défis et les nouveaux challenges à relever dans le secteur par l’Afrique.
« (…) Le projet de gouvernance proposé par la candidate (ivoirienne) est suffisamment attractif et pertinent pour recueillir l’adhésion des ministres de la Santé des 47 pays appelés à voter lors de la 64ème session du Comité régional de l’OMS, du 03 au 07 novembre à Cotonou, au Bénin », selon Dr Goudou-Coffie.
Celle-ci assure qu’en sa qualité de ministre de la Santé de la Côte d’Ivoire, elle conduira une forte délégation comprenant, entre autres, le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, Charles Diby Koffi, et son collègue de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’extérieur, Ally Coulibaly, ainsi que toute la délégation de la campagne de la candidate.
En réponse à cette marque d’attention de la part du gouvernement, Prof. N’Dri-Yoman a remercié sa « petite sœur » pour cette opportunité de relancer la candidature ivoirienne après le report de la session initialement prévue pour début septembre. La candidate l’a chargée d’exprimer sa gratitude au Président Alassane Ouattara, pour toutes les actions en soutien à ce challenge.
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