Bouaflé – Le Bureau international du travail (BIT) a offert, lundi, au Comité local de vigilance (CLV) pour la protection des enfants du village d’Iribafla, à 50 km de Bouaflé (Centre-ouest, région de la Marahoué), 267 feuilles de tôle et trois tonnes de ciment, en vue de la construction de trois salles de classe.
Ces matériaux, d’une valeur de plus d’un million de FCFA, visent à aider le CLV d’Iribafla à achever les salles de classe dont les fondations ont été déjà entamées, en vue de permettre aux élèves de travailler dans de meilleures conditions.
"Le BIT vient les appuyer pour l’achèvement de la construction, car il est de notre devoir de les accompagner comme nous l’avions promis", a fait savoir le directeur régional de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant (SFFE) de la Marahoué, N’Goran Alexis.
Pour M. N’Goran, les villageois se prendront en charge quand les activités du BIT arriveront à leur terme. Il a félicité le CLV d’Iribafla qui a compris la portée des actions que le BIT pose sur le terrain.
"Il appartient de faire en sorte que les actions dans le village perdurent, afin que la population puisse facilement recevoir de l’aide de l’extérieur", a-t-il souligné, indiquant que cette construction va désengorger les trois salles déjà fonctionnelles.
Dans le cadre des activités du BIT, des comités locaux de vigilance ont été mis en place pour veiller à la protection des enfants, en dénonçant toutes les formes de violences qui leur sont faites et en sensibilisant les populations sur la nécessité de protéger leurs progénitures par la scolarisation.
zaar/kkp/ask
Ces matériaux, d’une valeur de plus d’un million de FCFA, visent à aider le CLV d’Iribafla à achever les salles de classe dont les fondations ont été déjà entamées, en vue de permettre aux élèves de travailler dans de meilleures conditions.
"Le BIT vient les appuyer pour l’achèvement de la construction, car il est de notre devoir de les accompagner comme nous l’avions promis", a fait savoir le directeur régional de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant (SFFE) de la Marahoué, N’Goran Alexis.
Pour M. N’Goran, les villageois se prendront en charge quand les activités du BIT arriveront à leur terme. Il a félicité le CLV d’Iribafla qui a compris la portée des actions que le BIT pose sur le terrain.
"Il appartient de faire en sorte que les actions dans le village perdurent, afin que la population puisse facilement recevoir de l’aide de l’extérieur", a-t-il souligné, indiquant que cette construction va désengorger les trois salles déjà fonctionnelles.
Dans le cadre des activités du BIT, des comités locaux de vigilance ont été mis en place pour veiller à la protection des enfants, en dénonçant toutes les formes de violences qui leur sont faites et en sensibilisant les populations sur la nécessité de protéger leurs progénitures par la scolarisation.
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