L’ONG PDHRE-CI (Mouvement des Peuples pour l’Education aux Droits Humains de Côte d’Ivoire) a organisé du 21 au 24 octobre 2014, un séminaire de formation sur le thème : « Droits humains, citoyenneté et cohésion sociale à Ayamé ».
Ce séminaire avait pour objectif d’outiller les participants à la gestion des conflits communautaires, à la création de sociétés coopératives selon le nouvel acte uniforme de l’OHADA ainsi qu’à la connaissance des droits de l’homme.
Ce se sont 50 acteurs de la pêche à savoir : les représentants des pêcheurs autochtones, les bozo, les mareyeuses, les agents de la direction régionale de la pêche, les agents des eaux et forêt, la gendarmerie nationale, les représentants de la Mairie, des sous-préfectures d’Ayamé et de Yaou, qui ont été formés. Il s’agissait pour les formateurs messieurs KOMLAN ADADJO de la Division des Affaires Civiles de l’ONUCI et Dr. YEO Adama, commissaire national aux droits de l’homme (CNDHCI) de les sensibiliser sur les acquis de la cohésion sociale et de la réconciliation mais aussi sur les droits de l’homme. Pour eux, c’est une joie de constater que progressivement, les conditions du vivre ensemble se consolident dans la cité cosmopolite d’Ayamé et les conflits sur le lac, s’apaisent.
Pour rappel, l’on se souvent du violent conflit qui avait opposé en 2011 les Bozo aux pêcheurs autochtones suite auquel le Ministre Adjoumani KOBENAN avait été séquestré à Ayamé. Ainsi, la cohésion sociale s’était effritée, et la pratique la pêche sur le lac était devenue un risque pour les uns et les autres. C’est pourquoi, L’ONG PDHRE-CI en initiant ce séminaire recherche l’union et l’entente de tous pour le bien être de la cité afin que prospère l’activité de pêche.
Notons que cette formation a été financée par un partenaire américain, le NED (National Endowment for Democracy). Depuis deux (2) ans, le projet contribue à reconstruire la cohésion sociale ainsi qu’à l’éducation aux droits de l’homme.
Ce séminaire avait pour objectif d’outiller les participants à la gestion des conflits communautaires, à la création de sociétés coopératives selon le nouvel acte uniforme de l’OHADA ainsi qu’à la connaissance des droits de l’homme.
Ce se sont 50 acteurs de la pêche à savoir : les représentants des pêcheurs autochtones, les bozo, les mareyeuses, les agents de la direction régionale de la pêche, les agents des eaux et forêt, la gendarmerie nationale, les représentants de la Mairie, des sous-préfectures d’Ayamé et de Yaou, qui ont été formés. Il s’agissait pour les formateurs messieurs KOMLAN ADADJO de la Division des Affaires Civiles de l’ONUCI et Dr. YEO Adama, commissaire national aux droits de l’homme (CNDHCI) de les sensibiliser sur les acquis de la cohésion sociale et de la réconciliation mais aussi sur les droits de l’homme. Pour eux, c’est une joie de constater que progressivement, les conditions du vivre ensemble se consolident dans la cité cosmopolite d’Ayamé et les conflits sur le lac, s’apaisent.
Pour rappel, l’on se souvent du violent conflit qui avait opposé en 2011 les Bozo aux pêcheurs autochtones suite auquel le Ministre Adjoumani KOBENAN avait été séquestré à Ayamé. Ainsi, la cohésion sociale s’était effritée, et la pratique la pêche sur le lac était devenue un risque pour les uns et les autres. C’est pourquoi, L’ONG PDHRE-CI en initiant ce séminaire recherche l’union et l’entente de tous pour le bien être de la cité afin que prospère l’activité de pêche.
Notons que cette formation a été financée par un partenaire américain, le NED (National Endowment for Democracy). Depuis deux (2) ans, le projet contribue à reconstruire la cohésion sociale ainsi qu’à l’éducation aux droits de l’homme.
