« L’épargne, facteur de liberté d’action pour la femme » était le thème de la première conférence publique qu’a organisée l’ONG femmes heureuses pour l’Afrique (FHA), ce dimanche 26 octobre 2014 dans la commune de Yopougon.
C’est un consultant à l’ONUDI, expert en finances personnelles, M. Maurice KOUE qui a animé cette plate forme sur l’épargne qui a vu la participation d’une soixantaine de femmes. De prime abord, le conférencier a tenu a préciser à toute fin utile, que l’épargne doit être constituée dans un but précis, sans quoi, « c’est vain d’épargner » a-t-il soutenu.
A propos, il a indiqué que l’épargne est un élément clé pour la création d’une activité. « L’épargne est une des conditions d’une vie meilleure, les femmes ont intérêt à épargner afin d’avoir une activité génératrice de revenu pour une indépendance financière ». Aussi a-t-il expliqué, l’épargne contribue de ce fait, à rehausser la faible productivité des femmes par le développement de leur activité de base. Durant cette conférence, l’orateur n’a pas manqué d’évoquer les difficultés des femmes à épargner.
A savoir, les problèmes du quotidien, la solidarité familiale ou amicale avec son corolaire d’empathie qui emmènent à débourser des sommes pour aider un membre de sa famille ou un ami, et ce, de façon imprévue, répétitive et inappropriée pour la constitution d’une épargne. Face à ces états de fait propres à notre société africaine, l’expert en finances personnelles a préconisé à ses auditrices qu’« épargner, c’est prévoir les imprévus et se mettre à l’abri des imprévus ».
Profitant de cette occasion, la présidente de l’ONG FHA Mme Laure KOUAKOU rappelle que dans son projet de rendre la femme autonome, la recherche des partenaires financiers pour le financement des différents projets pour les femmes s’avère nécessaire. Cette option va constituer la prochaine étape des activités de son association, a-t-elle annoncée. Il faut rappeler que l’Ong FHA a vu le jour le 22 mai 2014.
Elle est née de la volonté de sa présidente et son bureau, à créer les conditions pour que les femmes s’insèrent dans le tissu économique, gagnent leur autonomie afin d’aller vers leur épanouissement total, loin des discriminations et des violences qui leurs sont faites, et que l’organisation FHA entend également combattre.
C’est un consultant à l’ONUDI, expert en finances personnelles, M. Maurice KOUE qui a animé cette plate forme sur l’épargne qui a vu la participation d’une soixantaine de femmes. De prime abord, le conférencier a tenu a préciser à toute fin utile, que l’épargne doit être constituée dans un but précis, sans quoi, « c’est vain d’épargner » a-t-il soutenu.
A propos, il a indiqué que l’épargne est un élément clé pour la création d’une activité. « L’épargne est une des conditions d’une vie meilleure, les femmes ont intérêt à épargner afin d’avoir une activité génératrice de revenu pour une indépendance financière ». Aussi a-t-il expliqué, l’épargne contribue de ce fait, à rehausser la faible productivité des femmes par le développement de leur activité de base. Durant cette conférence, l’orateur n’a pas manqué d’évoquer les difficultés des femmes à épargner.
A savoir, les problèmes du quotidien, la solidarité familiale ou amicale avec son corolaire d’empathie qui emmènent à débourser des sommes pour aider un membre de sa famille ou un ami, et ce, de façon imprévue, répétitive et inappropriée pour la constitution d’une épargne. Face à ces états de fait propres à notre société africaine, l’expert en finances personnelles a préconisé à ses auditrices qu’« épargner, c’est prévoir les imprévus et se mettre à l’abri des imprévus ».
Profitant de cette occasion, la présidente de l’ONG FHA Mme Laure KOUAKOU rappelle que dans son projet de rendre la femme autonome, la recherche des partenaires financiers pour le financement des différents projets pour les femmes s’avère nécessaire. Cette option va constituer la prochaine étape des activités de son association, a-t-elle annoncée. Il faut rappeler que l’Ong FHA a vu le jour le 22 mai 2014.
Elle est née de la volonté de sa présidente et son bureau, à créer les conditions pour que les femmes s’insèrent dans le tissu économique, gagnent leur autonomie afin d’aller vers leur épanouissement total, loin des discriminations et des violences qui leurs sont faites, et que l’organisation FHA entend également combattre.