Le décret du 22 mai 2013 portant interdiction de la production, de l’importation, de la commercialisation, de la détention et de l’utilisation des sachets plastiques entre en vigueur, ce vendredi à minuit, a annoncé à Abidjan (Attécoubé), la directrice générale de l’Agence nationale de la salubrité urbaine (ANASUR), Mme Sarahn Ouattara.
Mme Sarahn l’a annoncé, vendredi, lors du lancement de la deuxième édition du concours "balaie devant ta porte" du meilleur établissement scolaire au lycée municipal d’Attécoubé, invitant les équipes d’évaluation des écoles à "être rigoureuses sur l’application de cette décision gouvernementale".
L’application du décret sur les sachets plastiques avait été reportée pour laisser le temps aux entreprises productrices de ces matières d’évacuer leurs stocks, rappelle-t-on.
Cette interdiction concerne également toute personne prise en flagrant délit de déversement et rejet des sachets plastiques dans les rues et autres lieux publics, en milieu urbain et rural, dans les infrastructures des réseaux d’assainissement et de drainage, dans les cours et plans d’eau et leurs abords.
Elle sera alors passible de poursuites judiciaires conformément à l’article 328 du code pénal, de la loi du 7 juillet 1998 portant protection de la santé publique et de l’environnement et de celle du 03 octobre 1996 portant code de l’environnement.
Mme Sarahn l’a annoncé, vendredi, lors du lancement de la deuxième édition du concours "balaie devant ta porte" du meilleur établissement scolaire au lycée municipal d’Attécoubé, invitant les équipes d’évaluation des écoles à "être rigoureuses sur l’application de cette décision gouvernementale".
L’application du décret sur les sachets plastiques avait été reportée pour laisser le temps aux entreprises productrices de ces matières d’évacuer leurs stocks, rappelle-t-on.
Cette interdiction concerne également toute personne prise en flagrant délit de déversement et rejet des sachets plastiques dans les rues et autres lieux publics, en milieu urbain et rural, dans les infrastructures des réseaux d’assainissement et de drainage, dans les cours et plans d’eau et leurs abords.
Elle sera alors passible de poursuites judiciaires conformément à l’article 328 du code pénal, de la loi du 7 juillet 1998 portant protection de la santé publique et de l’environnement et de celle du 03 octobre 1996 portant code de l’environnement.