Le séminaire international ayant pour thème : «Désarmement, Démobilisation et Réintégration des Ex-combattants, expérience de la Côte d’Ivoire : bilan, enjeux et perspectives», organisé à l’initiative de l’Autorité pour le Désarmement, la Démobilisation et la Réintégration des Ex-combattants (ADDR), de l’ONUCI et du PNUD, a pris fin vendredi après-midi à Bouaké, sanctionné par une conférence de presse à l’issue de laquelle Mme Aichatou Mindaoudou, Représentante Spéciale du Secrétaire Général des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) et M. Fidèle Sarassoro, Directeur de l’ADDR, ont dit à l’unisson leur farouche souhait d’en finir avec le DDR, à la date butoir du 15 juin 2015.
«Nous sommes tous fiers des résultats constatés sur le terrain. Les témoignages des Ex-combattants rencontrés sur les différents sites nous confortent dans l’idée qu’ils seront de bons citoyens une fois retournés chez eux.
Je voudrais dire ma disponibilité personnelle à l’endroit de l’ADDR dans ce processus. Redoublons d’effort, car mon souhait, c’est qu’en juin 2015, cette question du DDR soit définitivement réglée, afin qu’ils prennent part au développement du pays».
Tombée sous le charme de la discipline et de la formidable assimilation des différents modules (civisme et morale, Paix et tolérance, sensibilisation de masse, méfaits des drogues et de l’alcool, Gestion de cellule familiale, Droits de l’Homme, etc.) dont ils ont fait preuve pendant les évaluations qui leur ont été soumises, Mme la chef de l’ONUCI n’a eu que ces mots.
Des propos tenus au terme de la visite du Site de Resocialisation dénommée ‘Disciplinekro’, sis au quartier Belleville, à Bouaké, pour exprimer sa satisfaction du travail conduit par l’ADDR, sa volonté de faire encore chemin avec cette Institution et surtout son souhait clair et sans ambigüité d’en finir avec le DDR, à la date butoir et tenable du 15 juin prochain.
Saisissant la balle au rebond, le Directeur de l’ADDR n’a pas dit autre chose. Ce dernier a fait remarquer, au cours de la conférence de presse de fin du séminaire, co-animée, au Centre d’Enseignement Technique, en compagnie des Ambassadeurs de France, d’Afrique du Sud, du Japon et des représentants des partenaires bilatéraux engagés dans le processus, que son ambition est également de tenir cette date. «Nous avons conçu un système pour le suivi post-resocialisation qui coûte beaucoup d’argent. Nous souhaiterions solliciter l’appui de nos partenaires pour travailler sur cet aspect», a-t-il confié.
«Nous sommes tous fiers des résultats constatés sur le terrain. Les témoignages des Ex-combattants rencontrés sur les différents sites nous confortent dans l’idée qu’ils seront de bons citoyens une fois retournés chez eux.
Je voudrais dire ma disponibilité personnelle à l’endroit de l’ADDR dans ce processus. Redoublons d’effort, car mon souhait, c’est qu’en juin 2015, cette question du DDR soit définitivement réglée, afin qu’ils prennent part au développement du pays».
Tombée sous le charme de la discipline et de la formidable assimilation des différents modules (civisme et morale, Paix et tolérance, sensibilisation de masse, méfaits des drogues et de l’alcool, Gestion de cellule familiale, Droits de l’Homme, etc.) dont ils ont fait preuve pendant les évaluations qui leur ont été soumises, Mme la chef de l’ONUCI n’a eu que ces mots.
Des propos tenus au terme de la visite du Site de Resocialisation dénommée ‘Disciplinekro’, sis au quartier Belleville, à Bouaké, pour exprimer sa satisfaction du travail conduit par l’ADDR, sa volonté de faire encore chemin avec cette Institution et surtout son souhait clair et sans ambigüité d’en finir avec le DDR, à la date butoir et tenable du 15 juin prochain.
Saisissant la balle au rebond, le Directeur de l’ADDR n’a pas dit autre chose. Ce dernier a fait remarquer, au cours de la conférence de presse de fin du séminaire, co-animée, au Centre d’Enseignement Technique, en compagnie des Ambassadeurs de France, d’Afrique du Sud, du Japon et des représentants des partenaires bilatéraux engagés dans le processus, que son ambition est également de tenir cette date. «Nous avons conçu un système pour le suivi post-resocialisation qui coûte beaucoup d’argent. Nous souhaiterions solliciter l’appui de nos partenaires pour travailler sur cet aspect», a-t-il confié.