Duékoué - Quelque 1250 combattants de l’Union pour la libération de la région du grand-ouest (UPRGO) sont recherchés par le bureau local de l’Autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réintégration (ADDR dans le cadre de la normalisation de leur situation.
Selon le chef du Front de libération du grand Ouest (FLGO), Mao Glofiéi, qui a donné l’information lors d’une rencontre d’échanges avec les parents de ses ex-éléments n’ayant pas encore déposé leurs armes, la plupart de ces ex- combattants se seraient refugiés au Ghana ou au Libéria voisins, et cela après la fuite de leur chef, Yahi Octave.
Aussi, a-t-il a demandé aux parents à mettre tout en œuvre afin que leurs enfants rentrent au pays pour sortir les armes de leur cachette, car "aucune poursuite n’est en cours contre eux", a-t-il rassuré.
La décennie de crise militaro-politique qu’a connue la Côte d’Ivoire, dès septembre 2002, a vu la naissance de plusieurs milices, notamment dans l’Ouest du pays, rappelle-t-on.
(AIP)
tf/fmo/kp
Selon le chef du Front de libération du grand Ouest (FLGO), Mao Glofiéi, qui a donné l’information lors d’une rencontre d’échanges avec les parents de ses ex-éléments n’ayant pas encore déposé leurs armes, la plupart de ces ex- combattants se seraient refugiés au Ghana ou au Libéria voisins, et cela après la fuite de leur chef, Yahi Octave.
Aussi, a-t-il a demandé aux parents à mettre tout en œuvre afin que leurs enfants rentrent au pays pour sortir les armes de leur cachette, car "aucune poursuite n’est en cours contre eux", a-t-il rassuré.
La décennie de crise militaro-politique qu’a connue la Côte d’Ivoire, dès septembre 2002, a vu la naissance de plusieurs milices, notamment dans l’Ouest du pays, rappelle-t-on.
(AIP)
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