Censé alimenter le Bénin, le Togo et le Ghana, le gazoduc d'Afrique de l'Ouest ne tient pas ses promesses. Des dysfonctionnements qui commencent à avoir un réel impact sur les économies des pays concernés.
Plus de quatre ans après le lancement des activités du gazoduc de l'Afrique de l'Ouest (GAO) qui approvisionne le Bénin, le Togo et le Ghana depuis les champs gaziers du Nigeria, le bilan est loin d'être satisfaisant.
L'organisme nigérian N-Gas, détenu par la Nigerian National Petroleum Corporation (NNPC), Shell Petroleum Development Company (SPDC) et Chevron Nigeria, ne parvient en effet pas à fournir au pipeline la livraison journalière de 200 millions de pieds cubes (mpc), soit 5,7 millions de mètres cubes, de gaz naturel prévu par le contrat signé en 2003 avec... suite de l'article sur Jeune Afrique
Plus de quatre ans après le lancement des activités du gazoduc de l'Afrique de l'Ouest (GAO) qui approvisionne le Bénin, le Togo et le Ghana depuis les champs gaziers du Nigeria, le bilan est loin d'être satisfaisant.
L'organisme nigérian N-Gas, détenu par la Nigerian National Petroleum Corporation (NNPC), Shell Petroleum Development Company (SPDC) et Chevron Nigeria, ne parvient en effet pas à fournir au pipeline la livraison journalière de 200 millions de pieds cubes (mpc), soit 5,7 millions de mètres cubes, de gaz naturel prévu par le contrat signé en 2003 avec... suite de l'article sur Jeune Afrique